Verdachte Bende van Nijvel zegt dat hij verklaringen heeft verzonnen

De 68-jarige verdachte in het dossier van de Bende van Nijvel, geeft toe dat hij een Fransman bepaalde zaken heeft toevertrouwd, maar dat hij die verhalen verzonnen heeft. Dat heeft Jean-Edmond Mairiaux, de advocaat van de verdachte, verklaard. De KI zal zich vrijdag uitspreken of de verdachte al dan niet vrijkomt.

De zestiger werd opgepakt nadat speurders van de cel Waals-Brabant van een Fransman te horen hadden gekregen dat de man hem bepaalde zaken had toevertrouwd, onder meer dat de verdachte deel uitmaakte van het panel robotfoto’s.

De verdachte ‘erkent dat hij die confidenties heeft gedaan’, zegt meester Mairiaux. ‘Maar hij zegt dat hij die zaken uitgevonden heeft. En hij beseft dat hij beter had gezwegen in plaats van zich in een moeilijke situatie te manoeuvreren en dat personage op te zetten.’ Volgens de advocaat is zijn cliënt ‘redelijk sereen, omdat hij weet dat hij alles uitgevonden heeft en dat het niet waar is’.

De verdachte verscheen dinsdag voor de KI op grond van negen betichtingen, onder meer voor diefstal met geweld met doodslag als verzwarende omstandigheid. De advocaat van de verdachte is van oordeel dat de aanwijzigingen onvoldoende zijn om hem in de gevangenis te houden.

Bron » Het Nieuwsblad

Aangehouden verdachte Bende van Nijvel blijft ontkennen

De kamer van inbeschuldigingstelling (KI) van Bergen heeft zich dinsdag gebogen over het beroep tegen het aanhoudingsmandaat dat de raadkamer van Charleroi bevestigde voor de verdachte in het dossier van de Bende van Nijvel. De KI zal zich vrijdag uitspreken of de 68-jarige verdachte al dan niet vrijkomt. De man zit sinds 13 mei in hechtenis.

De verdachte verscheen op grond van negen betichtingen voor de KI, onder meer voor diefstal met geweld met doodslag als verzwarende omstandigheid. De advocaat van de verdachte is van oordeel dat de aanwijzigingen onvoldoende zijn om hem in de gevangenis te houden.

Ook het voorlopig rapport van de psychiatrische experts kwam ter sprake tijdens de zitting van de KI. Het definitieve psychiatrisch rapport moet nog overgemaakt worden en de advocaat van de verdachte onthield zich van commentaar.

De verdachte ontkent de feiten die hem ten laste worden gelegd. Speurders van de cel Waals-Brabant hebben begin dit jaar verklaringen van een Fransman ontvangen, die van de verdachte een aantal vertrouwelijke verklaringen kreeg, onder meer dat hij deel uitmaakte van het panel robotfoto’s.

Vrijdag beslist de KI of de verdachte al dan niet aangehouden blijft.

Bron » Het Laatste Nieuws

Jean-Marie Tinck revient sur ses déclarations et dit “s’en mordre les doigts”

La chambre des mises en accusation de Mons a analysé mardi, en fin de matinée, l’appel du mandat d’arrêt confirmé par la chambre du conseil de Charleroi à l’encontre du suspect dans le dossier des Tueries du Brabant.

Les discussions ont duré deux heures dans ce palais de justice de Mons placé sous haute sécurité, “tant le sujet est sensible”, rapporte notre journaliste Aurélie Henneton. L’audience portait sur le maintien ou non en détention de Jean-Marie Tinck, 68 ans, maintenu en détention depuis le 13 mai.

Les enquêteurs de la Cellule du Brabant Wallon ont récolté en début d’année les déclarations d’un citoyen français affirmant avoir reçu les confidences de l’individu qui faisait partie du panel de portraits-robots.

Le suspect comparait sous neuf chef d’inculpation dont celui de vol avec violence avec la circonstance aggravante de meurtre. Il nie cependant les faits qui lui sont reprochés. “Il n’y a pas eu d’aveu”, poursuit notre journaliste.

“Jean-Marie Tinck est revenu sur les confidences qu’il a faites à un Français en disant qu’il avait appartenu aux tueurs du Brabant. Il a dit à son avocat qu’il avait inventé ces confidences de toutes pièces et qu’il s’en mord les doigts”, a-t-elle rapporté en direct dans notre Journal de 13 heures.

Pas de détails divulgués concernant le rapport psychiatrique préliminaire, demandé afin de s’assurer que le suspect n’est pas un mythomane.

L’avocat du suspect estime que les indices sont insuffisants pour le maintenir sous les verrous. La chambre des mises en accusation se prononcera vendredi sur le maintien ou non en détention du suspect.

Bron » RTL

Jean-Marie Tinck, le suspect dans les tueries du Brabant, a comparu devant la chambre des mises en accusation de Mons

La chambre des mises en accusation de Mons a analysé mardi, en fin de matinée, l’appel du mandat d’arrêt confirmé par la chambre du conseil de Charleroi à l’encontre du suspect dans le dossier des Tueries du Brabant. La chambre des mises se prononcera vendredi sur la libération ou non de l’individu âgé de 68 ans, maintenu en détention depuis le 13 mai.

Le suspect comparait sous neuf chef d’inculpation dont celui de vol avec violence avec la circonstance aggravante de meurtre.

L’avocat du suspect estime que les indices sont insuffisants pour le maintenir sous les verrous. Le rapport préliminaire des experts psychiatres a également été évoqué durant cette audience de la chambre des mises en accusation. Le rapport psychiatrique définitif doit encore être transmis et l’avocat de l’individu n’en a livré aucun détail.

Le suspect nie les faits qui lui sont reprochés. Les enquêteurs de la Cellule du Brabant Wallon ont récolté en début d’année les déclarations d’un citoyen français affirmant avoir reçu les confidences de l’individu qui faisait partie du panel de portraits-robots.

La chambre des mises en accusation se prononcera vendredi sur le maintien ou non en détention du suspect.

Bron » RTBF

Tueries du Brabant: Jean-Marie Tinck passe devant la Chambre des mises en accusation

C’est ce mardi que, Jean-Marie Tinck comparaît devant la Chambre des mises en accusation. L’homme avait été arrêté au début de ce mois dans le cadre du dossier sur les tueries du Brabant wallon, la vague d’attaques meurtrières dans des grandes surfaces qui avait provoqué la mort de 28 personnes de 1982 à 1985.

Jean-Marie Tinck avait été suspecté une première fois dans le cadre de ce dossier en 1997, c’était sur base d’un portrait-robot, mais relâché faute de preuves.

Cette fois, au début de ce mois, l’homme a été placé sous mandat d’arrêt par la juge d’instruction Martine Michel et son mandat d’arrêt confirmé.

Aujourd’hui Maître Mairiau, l’avocat de Jean-Marie Tinck, va demander devant la Chambre des mises, la remise en liberté de son client en plaidant la légèreté des indices.

De son côté, le Procureur de Liège, Christian De Valkeneer, va requérir le maintien en détention de Jean-Marie Tinck. Rappelons que la Chambre des mises est le degré d’Appel de la Chambre du Conseil.

Bron » RTBF