In een artikel door Jean Vandendries over de maandag na Nijvel:
"[...] c'est à Braine-l'Alleud encore que se produisait hier midi un événement qui allait tenir plusieurs heures durant en alerte neuf policiers, ainsi que de nombreuses brigades de gendarmerie placées sous le commandement du capitaine Mouthuy. Cet événement? Un vol de voiture. Le préjudidié "Titi" Delpierre, exploitant un café à Sart-Moulin, donne immédiatement l'alerte: "Il était 12h30 environ, quand je tondis démarrer ma BMW. Elle fait un bruit caractéristique. J'avais laissé le double de mes clefs dans la boite à gants. Des parents l'ont vue passer devant eux. Il y avait deux personnes à bord. En y pensant bien, ce vol n'était que le prolongement de deux faits inhabituels qui s'étaient déroulés dans la matinée et dont ma femme avait été temoin. Elle vit, à plusieurs reprises, une femme aux cheveux noirs, qu'elle n'avait jamais rencontrée dans le quartier; de plus, un homme assez grand et portant une barbe blonde, a fait une dizaine de fois, à moto, la navette entre le fond de la rue de la Gare, et la rue d'Alconval. Lui non plus, on ne l'avait pas encore vu chez nous".
Voilà en tout cas, un témoinage corroborant un signalement fourni par le gendarme de Wavre, blessé dans la fussilade et des témoins du cambriolage de Tamise. Revenons à cette voiture; la police de Braine-l'Alleud répercuta l'information, spécifiant notamment que le réservoir n'autorisait qu'une autonomie d'une cinquantaine de kilomètres. A deux heures, cette voitures fut retrouvée dans le bois de Mérode, à Limal, après une poursuite menée par le commissaire de police adjoint de Wavre, Gérard Denis. Il allait se poster à la sortie du village-expo, en direction de Rixensart, lorsqu'il croisa la voiture volée, dont il localisa ensuite la trace près du cimetière pour chiens de Rosières. Finalement c'est un combi de la gendarmerie de Wavre qui retrouva la BMW. Il était conduit par l'adjudant-chef. Campine, qui, rappelon-le, fut blessé il y a un an lorsqu'il poursuivit les gangsters venant d'abattre le policier wavrien Claude Haulotte. La BMW, qui avait parcouru une quarantaine de kilomètres depuis Braine-l'Alleud, et dans laquelle ne se trouvait plus qu'un homme lorsqu'elle fut prise en chasse par M. Denis, était vide.
A une centaine de mètres de là, un cyclomoteur et "un couple d'amoureux". Les guillemets s'expliquent ainsi: la jeune femme - très grande, blonde, queue de cheval - paraissait agée de 25 ans; sous son manteau de fourrure, comme s'il se cachait ou s'il la menaçait d'une arme, un homme un peu plus âgé, moins grand (1,75 m environ), corpulence moyenne, cheveux noirs mi-longs, les yeux fatigués, comme s'il avait passé une nuit blanche. La femme affirma n'avoir rien vu. Les gendarmes revinrent à la voiture, puis voulurent s'adresser à nouveau au couple, qui quittait à grande enjambée le bois, en direction de l'avenue de Mérode ou leur trace se perdit. Le branle-bas de combat commença alors. Deux chiens pisteurs firent le trajet entre la BMW et l'orée du bois. Des dizaines de gendarmes et de policiers encerclèrent celui-ci, tandis qu'un hélicoptère de la gendarmerie survolait le champ des opérations. Les recherches s'étendirent au village-expo, où l'on supposait que le couple aurait pu trouver refuge. Elles furent vaines. Les craintes étaient grandes quant au sort réservé à la jeune femme, à supposer que son "compagnon" soit l'un des tueurs."
Volgens "Wolf" was de diefstal van de BMW opzettelijk om eventueel bewijsmateriaal onklaar te maken:
"On peu expliquer cette façon de faire, pour expliquer la présence d’indices dans le véhicule et en rejeté la cause sur le fait de vol et donc tenter de se disculper. Ce que les enquêteurs ne savent pas, c’est D. possède deux bmw identique, dont une a été repeinte par les frères B. appartenant à la bande des sudistes." en "Quelle est le meilleur moyen de se disculper si vous pensez que les flics pourrait imaginer votre compliciter dan les faits de Nivelles,que de crier au secours,on m'a piqué ma bmw..."