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Jean Deprêtre: "Ik weet wie de bende is: V.A., D.W., S.T., F.J.P., R.I."

Bron: Le Soir Magazine, 14/03/2012

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Hestur wrote:

Beijer en Amory (zie eerder op dit topic).

Geen huiszoeking bij Beijer en Amory.

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Reactie van Christian Smets (via email): Mardi 7 février, j’ai en effet reçu la visite de 6 policiers, munis d’un mandat de perquisition libellé de manière aussi vague que possible. Il ont passé 6 h. dans mon petit appartement de 65m² examinant soigneusement chacun de mes 2.000 livres et B.D. Voilà donc l’enquête sur les tueries du Brabant relancée de façon dynamique et spectaculaire.

En ce qui me concerne,  j’avais été, depuis 1988, interrogé, au total, pendant des dizaines d’heures par des magistrats, policiers de toutes sortes et même une brillante commission parlementaire d’enquête. En 1994, je m’étais en outre soumis de bonne grâce au test du polygraphe.  Jamais aucun élément n’a été retenu contre moi dans le cadre de cette enquête, pour l’excellente raison qu’il n’en n‘existe pas. Je ne peux que réaffirmer  que je suis totalement étranger  à ces faits et que ne détiens aucune information pertinente à leur sujet. Si cela  avait été le cas j’en aurais immédiatement et complétement informé le procureur du Roi, comme j’en ai l’obligation légale.

Et si, et ce n’est pas le cas, j’avais eu des choses à cacher, ce n’est certainement pas à mon domicile que je les aurais cachées 27 après les faits. Quarante ans de métier et de formations m’ont tout de même appris quelques précautions élémentaires.  C’est pitoyable. Il y a des années un magistrat en charge du dossier  a déclaré publiquement que certaines pistes, dont « la mienne », étaient closes. Voilà qu’après 8 ans de silence on « rouvre ma porte ».  Alors, de deux choses l’une : ou bien les enquêteurs disposent d’éléments vraiment nouveaux et pertinents, ce que j’ignore (dans ce cas ces perquisitions seraient totalement justifiées),  mais je n’y crois guère ; ou bien ils n’ont rien ou pas grand-chose et ce ne sont que des gesticulations déterminées par le calendrier, ce que je crois plutôt.

Alors c’est un vrai scandale et un manque de respect pour les victimes et leurs familles. Si ceci se vérifiait, et l’avenir proche nous l’apprendra, on peut commencer à se demander dans quel  pays on vit vraiment. Il serait enfin temps de cesser d’agiter la Sûreté de l’Etat comme une sorte d’épouvantail destiné à effrayer les moineaux. Loin des fantasmes, les gogos devraient étudier les possibilités réelles du service de renseignement défensif d’un petit pays démocratique. Cela les instruirait.

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Volgens de RTBF, huiszoekinhen bij Albert Raes en Christian Smets!

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(6 replies, posted in Bende Bouhouche-Beijer)

Asmaoui is dood.

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Vos is nog actief in deze cel.

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(32 replies, posted in Bibliografie)

In de loden jaren tachtig sloeg de Bende van Nijvel toe, waarbij er minstens 28 doden vielen. De CCC pleegden 25 aanslagen met vooral materiele schade. De Bende en de CCC maakten deel uit van de Strategie van de Spanning, een concept van de Amerikaanse generaal Westmoreland dat de steun genoot van de CIA. Het opzet was om de westerse democratieen te versterken.

De daders gingen schuil achter de facade van een ondergronds Gladio- of stay-behindnetwerk. Hun officiele opdracht was om tijdens de Koude Oorlog een mogelijke inval te weerstaan van het communistische Oostblok. Maar Gladio werd een instrument in handen van extreemrechts, dat een sterke staat nastreefde, en van een maffieuze organisatie die vooral actief was in de drugs- en wapenhandel.

De auteur schetst een portret van de deelnemers aan deze terreurgolf en leidt de lezer door een kluwen van geweld, corruptie, chantage en valse sporen tot alle elementen van deze immense puzzel in elkaar passen.

Auteur: Guy Bouten
Uitgever:  2011
Genre: Geschiedenis, Geschiedenis
Verkoopprijs:  € 19,95
Aantal pagina's:  344
Uitvoering:  paperback
ISBN-nummer:  9789461310774

https://standaardboekhandel.be/images/9789461310774.img?img=/images/024/8840943665182.jpg&w=246&h=362

» www.boek.be

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Bouhouche woonde ook denk ik in Jette.

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(114 replies, posted in Bende Farcy)

Tueries : Alain Moussa interrogé

L’ancien truand de la bande De Staerke interrogé sur 5 armes, dont 2 riot-guns. Alain Moussa, 59 ans, de Laeken, a été interrogé, la semaine passée, par la Cellule Brabant wallon en charge, à la PJF de Charleroi, de l’enquête sur 28 assassinats perpétrés en Belgique principalement dans des supermarchés Colruyt et Delhaize entre 1982 et novembre 1985. Alain Moussa est connu pour avoir appartenu dans les années 1980 à la première bande De Staerke, du nom de Philippe, dit Johnny, De Staerke longtemps inculpé pour la tuerie d’Alost mais ayant bénéficié d’un non-lieu. Moussa était interrogé sur cinq armes et une bombe artisanale saisies “vers 1985 ou 1986” chez sa mère, rue Drootbeek, à Laeken. Cinq armes dont deux riot-guns et des munitions “en quantité” de calibre 12.

Nieuws » Alain Moussa interrog

"Si j’étais derrière les tueries..." Nouvelle Recherche

Pas fréquent qu’un truand s’exprime sur le mystère des tueries du Brabant. "Je n’ai rien à voir dans les tueries du Brabant wallon et, selon moi, les enquêteurs perdent leur temps s’ils pensent que c’est du côté de De Staerke qu’ils trouveront. Mais soit, admettons, jouons le jeu : et si j’avais commandité les tueries ? Et si j’étais derrière les tueries?"

Alain Moussa, rencontré ce week-end en Région bruxelloise, est incapable de préciser le nombre d’années de sa vie passées en prison. “J’ai passé le cap où tu les comptes. Je ne sais pas : vingt-quatre, peut-être. Oui, quelque chose comme ça. Les durs de l’époque, je les ai tous connus. Tous. En Belgique et même en France. Je parle des durs. Les tueries, évidemment qu’on en parlait. Forcément. Personne n’a jamais parlé. La presse l’a souvent écrit et je confirme, c’est vrai : rien. Selon moi, c’est la preuve que ça ne venait pas de chez nous. Chez nous, ça finit toujours par parler. Il y a autre chose.”

Le Alain Moussa d’aujourd’hui est élégant. Difficile de trouver le Moussa qu’Alain Pierrard, notre photographe maison aujourd’hui à la retraite, avait photographié à Gand en 1987. “Écoute-moi bien, reprend Alain Moussa. Dans un truc aussi immense, on ne laisse personne derrière soi. Selon moi, ils ont tous dû être éliminés les uns après les autres. On ne peut pas courir le risque de laisser vivre pendant vingt-cinq ans des gens qui savent. C’est impensable.” Truand mais pas voyou. Alain Moussa insiste sur le distinguo. “J’étais un truand, je n’ai jamais été voyou. C’est essentiel. Je lis des choses aujourd’hui : nous ne faisions pas ça.”

Encore quatre ans et demi et les vingt-huit assassinats liés aux tueries seront prescrits. C’est l’avis de Moussa : “Les policiers perdent leur temps avec De Staerke. (Philippe) De Staerke n’est pas un copain. Si je le voyais, je ne sais pas comment ça se passerait. Pas bien, sûrement. Mais De Staerke ? Non. On lui a attribué cette phrase : J’ai vingt-huit ans et vingt-huit morts. C ’était de la bêtise. Les tueries n’ont rien à voir avec nous. Je demande qu’on me laisse tranquille. Ce qu’ils veulent savoir, ils le savent. Sur les tueries, j’ai été interrogé pendant dix-sept mois. Mes souvenirs d’aujourd’hui sont moins clairs que dans ces années-là. Il y a eu un quart de siècle de prison. Qu’ils me laissent en paix.”

Interview: Gilbert Dupont

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Belangrijk :

Tueries du Brabant : des résultats prometteurs

Un ADN isolé au départ d’un vêtement de la tuerie d’Alost. Et une comparaison…

Selon nos infos, l’analyse par des procédés innovants, pratiqués depuis peu par le laboratoire de Gosselies Bio.be, d’une pièce à conviction trouvée en 1985 sur les lieux de la tuerie du Delhaize d’Alost a permis d’isoler une empreinte génétique suspecte.

Cet ADN, comparé aux autres répertoriés dans les bases de données, a fourni comme premier résultat l’identification – d’abord annoncée comme formelle – d’un suspect, faisant espérer que le mystère des tueries du Brabant était en passe d’être élucidé.

Bron: Gilbert Dupont - La Dernière Heure 05/05/2011

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