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Zijn naam komt niet voor in Atlas, maar hij valt wel in verband te brengen met dit milieu.

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Wijlen Paul van Zeeland, Bilderberger van het eerste uur, tiens is die niet onlangs in het nieuws geweest omwille van zijn off-shore bedrijfje in Panama (gesticht in 1946). Welk geld moest daar geparkeerd worden zou iemand zich dan afvragen... en van waar was het afkomstig? Hoe dan ook, de familie Van Zeeland is er met een boete van 18.000 Euro makkelijk van onderuit gemuisd. Dossier dicht. Wat een koopje.

» www.hln.be

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En nog deze visie over Bilderberg, die me niet eens zo gek lijkt:

Bilderberg is in essentie geen "mondiale regering" maar wel een NATO-werktuig

Depuis plusieurs années, l’idée s’est répandue que le Groupe de Bilderberg serait un embryon de gouvernement mondial. Ayant eu accès aux archives de ce club très secret, Thierry Meyssan montre que cette description est une fausse piste utilisée pour masquer la véritable identité et fonction du Groupe: le Bilderberg est une création de l’OTAN. Il vise à convaincre des leaders et à manipuler l’opinion publique à travers eux pour la faire adhérer aux concepts et aux actions de l’Alliance atlantique.

De eerste samenkomst was gericht op anticommunisme (inclusief via het éénmaken van Europa)

70 personnalités, issues de 12 pays, participent à la première réunion du Groupe. C’est un séminaire de trois jours, du 29 au 31 mai 1954, près d’Arnhem (Pays-Bas). Les invités sont répartis dans deux autres hôtels avoisinants, mais les débats se tiennent dans l’établissement principal qui donna son nom au Groupe. Les invitations, à en-tête du Palais de Soestdijk, sont sybillines: "J’apprécierais vivement votre présence au congrès international, sans caractère officiel, qui se tiendra aux Pays-Bas vers la fin du mois de mai. Ce congrès désire étudier un certain nombre de questions d’une grande importance pour la civilisation occidentale et a pour but de stimuler le goodwill et l’entente réciproque grâce à un libre échange de vues."

Elles sont signées du prince consort des Pays-Bas, Bernhard zur Lippe-Biesterfeld, et accompagnées de quelques pages d’informations administratives sur le transport et l’hébergement. Tout au plus y apprend-on que les délégués seront issus des États-Unis et de 11 États ouest-européens, et que 6 séances de travail de 3 heures chacune sont prévues. Vu le passé nazi du prince Bernhard (qui avait servi dans la cavalerie SS jusqu’à son mariage en 1937 avec la princesse Juliana) et dans le contexte du McCarthysme, il est clair que les "questions d’une grande importance pour la civilisation occidentale" tournent autour de la lutte contre le communisme. Une fois arrivé sur place, l’impression des invités est tempérée par les deux présidents de séance : l’entrepreneur états-unien John S. Coleman et le ministre belge sortant des Affaires étrangères Paul van Zeeland. Le premier est un militant du libre-échange, le second est un partisan de la Communauté européenne de Défense (CED).

La CED est un projet qui visait à créer une armée européenne intégrée à l’OTAN. Il fut rejeté en 1954 par le Parlement français à l’instigation des Gaullistes et du Parti communiste. Il faut attendre 2010-11 pour que ce projet trouve un début de réalisation avec l’entente franco-britannique au sein de l’OTAN et la guerre de Libye. Enfin, on aperçoit en bout de tribune Joseph Retinger, l’éminence grise des Britanniques. Tout cela laisse à penser que les monarchies hollandaise et britannique ont sponsorisé cette réunion pour soutenir la Communauté européenne de Défense et le modèle économique du capitalisme libre-échangiste face à l’anti-américanisme que promeuvent communistes et gaullistes. Cependant, les apparences sont trompeuses. Il ne s’agit pas de faire campagne pour la CED, mais de mobiliser les élites pour la Guerre froide. S.A.R. le prince Bernhard a été choisi pour convoquer ce congrès parce que son statut de prince consort lui donne un caractère étatique sans pour autant être officiel.

Il masque le commanditaire: une organisation inter-gouvernementale qui entend manipuler les gouvernements de certains de ses États membres. John S. Coleman n’est pas encore le président de la Chambre de Commerce des États-Unis, mais il vient de créer le Comité des citoyens pour une politique nationale du Commerce (Citizen’s Committee for a National Trade Policy — CCNTP). Selon lui, le libre-échange absolu, c’est-à-dire le renoncement à tous les droits de douane, permettra aux pays alliés des États-Unis d’accroître leur richesse et de financer la Communauté européenne de Défense (c’est-à-dire de réarmer l’Allemagne et d’intégrer sa puissance militaire potentielle au sein de l’OTAN) Or, les documents en notre possession montrent que le CCNTP n’a de citoyen que le nom. C’est en réalité une initiative de Charles D. Jackson, le conseiller en guerre psychologique de la Maison-Blanche.

L’opération est pilotée en amont par William J. Donovan, l’ancien commandant de l’OSS (le service de renseignement US durant la guerre) désormais chargé d’édifier la branche américaine du nouveau service secret de l’OTAN, le Gladio. Paul van Zeeland n’est pas seulement le promoteur de la Communauté européenne de Défense, c’est aussi un politicien de grande expérience. À la Libération, il a présidé la Ligue indépendante de coopération européenne (LICE) dont l’objectif est de créer une union douanière et monétaire. Cette organisation a été mise en place par Joseph Retinger, déjà cité. Précisément Retinger, qui fait office de secrétaire du congrès de Bilderberg, a servi durant la guerre dans les services secrets anglais (SOE) du général Colin Gubbins. Aventurier polonais, Retinger s’est retrouvé conseiller du gouvernement Sikorski en exil au Royaume-Uni. À Londres, il a animé le microsome des gouvernements en exil se faisant ainsi le plus beau carnet d’adresse de l’Europe libérée. Son ami Sir Gubbins a officiellement quitté le service et le SOE a été dissout.

Il dirige une petite entreprise de tapis et textiles, qui lui sert de "couverture". En réalité, aux côtés de son homologue Donovan, il est chargé de créer la branche anglaise du Gladio. Il a participé à toutes les réunions préparatoires du congrès de Bilderberg et est présent parmi les invités, assis à côté de Charles D. Jackson. À l’insu des participants, ce sont donc les services secrets de l’OTAN qui sont la puissance invitante. Bernhard, Coleman et van Zeeland servent de paravents. Parmi les dix orateurs inscrits, on relève deux anciens Premiers ministres (Guy Mollet, France et Alcide de Gasperi, Italie), trois responsables du Plan Marshall, le faucon de la Guerre froide (Paul H. Nitze) et surtout un très puissant financier (David Rockefeller).

Slechts een harde kern maakt deel uit van het plan, de rest is aanwezig om "gemanipuleerd te worden" :

Selon les documents préparatoires, une vingtaine de participants sont dans la confidence. Ils savent plus ou moins en détail qui sont les tireurs de ficelles et ont rédigé à l’avance leurs interventions. Les moindres détails ont été ajustés et il n’y a aucune part d’improvisation. Au contraire, la cinquantaine d’autres participants ignore tout de ce qui se trame. Ils ont été choisis pour influencer leurs gouvernements respectifs et l’opinion publique de leur pays. Le séminaire est donc organisé pour les convaincre et pour les pousser à s’engager à propager les messages que l’on veut diffuser. Les interventions ne portent pas sur les grands problèmes internationaux, mais analysent la stratégie idéologique supposée des Soviétiques et exposent la manière dont elle doit être contrée dans le « monde libre ».

De Gladio-strategie wordt er versterkt

Les premières interventions évaluent le danger communiste. Les « communistes conscients » sont des individus qui entendent placer leur patrie au service de l’Union soviétique afin d’imposer au monde un système collectiviste. Ils doivent être combattus. Mais cette lutte est difficile car ces « communistes conscients » sont noyés en Europe dans une masse d’électeurs communistes qui ignorent tout de leurs sombres desseins et les suivent dans l’espoir de meilleures conditions sociales. Progressivement, la rhétorique se durcit. Le « monde libre » doit affronter le « complot communiste mondial », non seulement de manière générale, mais aussi en répondant à des questions concrètes sur les investissements états-uniens en Europe ou sur la décolonisation. Enfin, les orateurs en arrivent au problème principal —que les Soviétiques, assurent-ils, exploitent à leur profit— : pour des raisons culturelles et historiques, les responsables politiques du « monde libre » emploient des arguments différents aux États-Unis et en Europe, arguments qui se contredisent parfois. Le cas le plus emblématique est celui des purges organisées par le sénateur McCarthy aux États-Unis. Elles sont indispensables pour sauver la démocratie, mais la méthode choisie est ressentie en Europe comme une forme de totalitarisme. Le message final, c’est qu’aucune négociation diplomatique, aucun compromis n’est possible avec les « Rouges  ».

Il faut empêcher coûte que coûte les communistes de jouer un rôle en Europe occidentale, mais il va falloir ruser : comme on ne peut pas les arrêter et les fusiller, il faudra les neutraliser avec discrétion, sans que leurs électeurs eux-mêmes s’en rendent compte. Bref, l’idéologie qui est développée, c’est celle de l’OTAN et du Gladio. Il n’a jamais été dit que l’on truquerait les élections, ni que l’on assassinerait les tièdes, mais tous les participants ont admis que pour sauver le « monde libre », il faudrait mettre la liberté entre parenthèses. Bien que le projet de Communauté européenne de Défense (CED) ait échoué trois mois plus tard sous les coups de boutoir des députés communistes et « nationalistes extrémistes » (c’est-à-dire gaullistes) au Parlement français, le congrès fut considéré comme un succès. Malgré les apparences, il n’avait pas pour but de soutenir la création de la CED ou toute autre mesure politique précise, mais de diffuser une idéologie dans la classe dirigeante, puis à travers elle dans la société. Objectivement, les Européens de l’Ouest avaient de moins en moins conscience des libertés dont ils étaient privés et ils étaient de plus en plus informés des libertés qui faisaient défaut aux habitants de l’Europe de l’Est.

De tweede meeting: exit Bernhard wegens Lockheed-schandaal

Un second congrès est donc organisé en France, du 18 au 20 mars 1955. À Barbizon. Progressivement l’idée que ces congrès seront annuels et qu’ils nécessitent un secrétariat permanent s’impose. Le prince Bernhard se met en retrait lorsqu’il est pris en flagrant délit de trafic d’influence (scandale Lockheed-Martin). Il cède à l’ancien Premier ministre britannique Alec Douglas Home (1977-80), la présidence qui sera ensuite tenue par l’ancien chancelier et président allemand Walter Scheel (1981-85), l’ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre Eric Roll (1986-89), l’ancien secrétaire général de l’OTAN Peter Carrington (1990-98), et enfin l’ancien vice-président de la Commission européenne Étienne Davignon (depuis 1999). Pendant longtemps, le président du Groupe de Bilderberg est assisté de deux secrétaires généraux, un pour l’Europe et le Canada (les États vassaux), l’autre pour les États-Unis (le suzerain), cependant, il n’y a plus qu’un seul secrétaire général depuis 1999.

Volgende meetings: meer van hetzelfde maar wisselende leden om de "blijde boodschap" te verspreiden

D’une année sur l’autre, les débats sont très redondants, c’est pourquoi les invités changent. Il y a toujours un noyau dur qui a préparé le séminaire à l’avance et des nouveaux venus à qui l’on inculque la rhétorique atlantiste du moment. Actuellement, les séminaires annuels rassemblent plus de 120 participants, dont toujours un tiers forment le noyau dur. Ils ont été sélectionnés par l’Alliance en fonction de l’importance de leurs relations et de leur capacité d’influence, indépendamment de leurs fonctions dans la société. Ainsi, ils restent membres du noyau dur lorsqu’ils changent de métier. Les Bilderbergers n’engagent pas les entreprises ou institutions dans lesquelles, ils travaillent.

Cependant, il est intéressant d’observer la diversité de leurs secteurs d’activité. Au cours des dernières années, le nombre de sujets abordés lors des séminaires annuels a augmenté en fonction de l’actualité internationale. Mais cela ne nous apprend rien, car ces discussions n’ont aucun objet en elles-mêmes, elles sont juste des prétextes pour faire passer des messages. Malheureusement, nous n’avons pas eu accès aux documents préparatoires les plus récents et ne pouvons que supputer sur les mots d’ordre que l’OTAN s’efforce de diffuser via ces leaders d’opinion. La réputation du Groupe de Bilderberg a conduit certains auteurs à lui attribuer des capacités de nomination. C’est stupide et cela masque les vrais tireurs de ficelles qui se trouvent au sein de l’Alliance atlantique.

Het is niet: de plaats waar wereldpolitiek op een paar dagen geklonken wordt

Par exemple, on a rapporté que durant la dernière campagne électorale présidentielle aux États-Unis, Barack Obama et Hillary Clinton ont disparu durant une journée, le 6 juin 2008, pour négocier à l’écart la fin de leur rivalité. Ils se sont en réalité rendus au séminaire annuel du Groupe de Bilderberg, à Chantilly (Virginie, USA). Or, le lendemain, Mme Clinton annonçait qu’elle se retirait de la course. Certains auteurs en ont conclu que la décision a été prise au cours de la réunion du Bilderberg. Ce n’est pas logique, dans la mesure où cette décision était certaine depuis trois jours vu le nombre de voix du sénateur Obama au sein du comité d’investiture du Parti démocrate. Selon notre source, c’est autre chose qui s’est passé. Barack Obama et Hillary Clinton ont conclu à l’écart un accord financier et politique. Le sénateur Obama a renfloué les caisses de sa rivale et lui a offert un poste dans son administration (Mme Clinton a refusé la vice-présidence et a choisi le département d’État) en échange de son soutien actif durant la campagne contre le candidat républicain.

Puis, les deux leaders ont été introduits par James A. Johnson au séminaire du Bilderberg où ils ont assuré les participants qu’ils travailleraient ensemble. Depuis longtemps déjà, Barack Obama était le candidat de l’OTAN. M. Obama et sa famille ont toujours travaillé pour la CIA et le Pentagone. De plus, les premiers financements de sa campagne ont été fournis par la Couronne d’Angleterre via l’homme d’affaire Nadhmi Auchi. En présentant le sénateur noir aux Bilderbergers, l’Alliance atlantique organisait à l’échelle internationale les relations publiques du futur président des États-Unis. De même, on a rapporté que le Groupe de Bilderberg a organisé un dîner impromptu, hors séminaire, le 14 novembre 2009 au Château de Val Duchesse, propriété du roi de Belgique.

L’ancien Premier ministre belge Herman von Rompuy y a prononcé un discours. Or, cinq jours plus tard, il fut élu président du Conseil européen. Là encore, certains auteurs en on conclu à tort que le Groupe de Bilderberg était le « faiseur de roi ». En réalité, le président de l’Union européenne ne pouvait pas être choisi en dehors des cercles de l’OTAN, puisque —rappelons-le— l’Union européenne est issue des clauses secrètes du Plan Marshall. Et ce choix devait être avalisé par les États membres. Ce type de décision nécessite de longues négociations et ne se prend pas lors d’un dîner entre amis.

Van Rompuy werd door Davignon via Bilderberg "gelanceerd" in de juiste kringen

Toujours selon notre source, le président du Groupe de Bilderberg, Étienne Davignon, a convoqué ce dîner exceptionnel pour présenter van Rompuy à ses relais d’influence. La chose était d’autant plus indispensable que la première personnalité à occuper la nouvelle fonction de président de l’Union était totalement inconnue en dehors de son pays. Au cours du repas, M. Van Rompuy a exposé son programme de création d’un impôt européen pour financer directement les institutions de l’Union sans passer par les États membres. Il restait aux Bilderbergers à clamer partout où ils le pouvaient qu’ils connaissent Herman von Rompuy et attestent de ses qualités pour présider l’Union.

Bron » www.voltairenet.org

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En voor zij die geen Italiaans begrijpen maar wel wat Frans, een interview met Imposimato » YouTube

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De informatie van Imposimato over Bilderberg staat reeds sinds november 2012 vermeld in zijn boek "La Repubblica delle stragi impunite". De persartikels uit januari kregen blijkbaar weinig respons, zodat het deze maand (april) nog maar eens wordt opgerakeld. Ik heb het boek intussen gekocht (enkel in het Italiaans beschikbaar). Het lijkt bijzonder interessant.

Helaas staat er geen reproductie in van het aangehaalde document en is de passage in de tekst behoorlijk summier. Bilderberg wordt trouwens maar op één plaats in de tekst genoemd. Ik heb het boek nog niet gelezen (mijn Italiaans is behoorlijk goed maar het leest wat trager) maar begin er weldra aan en laat wel weten of er nog belangrijke info instaat.

Dit is wat ik er voorlopig van maak:

In zijn boek "La Repubblica delle stragi impunite” (november 2012), alsook in persberichten uit januari en april 2013, beweert de Italiaanse toprechter Ferdinando Imposimato te beschikken over informatie die aantoont dat Bilderberg mee achter de NATO-gelinkte terroristische aanslagen zat van de loden jaren die overkoepeld werden door de P2-loge. Hij haalde deze informatie uit een rapport van de in 1979 door de extreem-linkse Prima Linea vermoorde magistraat Emilio Alessandrini dewelke op zijn beurt een document uit juni 1967 lijkt te hebben bekomen van Giovanni Ventura, een fascist van Ordine Nuovo gestorven in 2010. Het rapport van Alessandrini over "Gruppi di pressione internazionale in occidente" is getiteld RSD/1Zeta n°230, was opgesteld naar aanleiding van zijn onderzoek naar de Gladio-aanslag in Piazza Fontana van december 1969 en bevatte nota's over de CIA, Bilderberg en de Americans for Democratic Action (ADA).

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Intervista a Ferdinando Imposimato

La strage di Piazza Fontana, avvenuta nel dicembre del 1969, viene considerata da molti storici l’inizio della cosiddetta “strategia della tensione” ovvero uno dei peggiori attacchi subiti dalle istituzioni democratiche del nostro Paese nel dopoguerra. A distanza di tanti anni molti degli interrogativi dell’attentato restano ancora senza risposta e questo alimenta il lavoro incessante di tanti ricercatori che vogliono fare luce su uno dei più importanti “buchi neri” della storia recente italiana.

Uno di questi ricercatori è Ferdinando Imposimato, avvocato penalista, magistrato e presidente onorario aggiunto della Suprema Corte di Cassazione. Imposimato ha studiato per anni documenti inediti della strage di Piazza Fontana e di tanti altri terribili eccidi culminati nel 1992 con l’assassinio dei giudici Falcone e Borsellino. Questo imponente lavoro di ricerca è stato raccolto nel libro “La Repubblica delle stragi impunite”, pubblicato da Newton Compton Editori. Abbiamo sentito Imposimato per fare il punto, nel giorno dell’anniversario, su quanto accaduto davvero a Milano quel freddo 12 dicembre di 43 anni fa.

Presidente, perché la strage di Piazza Fontana è un evento che non deve essere dimenticato dall'opinione pubblica e dalle nuove generazioni?

"Perchè l’eccidio di Piazza Fontana, in cui morirono donne e bambini, fu 'la madre di tutte le stragi'. Negli anni seguenti l'Italia sprofondò in un mare di illegalità, corruzione, terrorismo e criminalità organizzata in cui fare giustizia e ripristinare l'imperio della legge divenne praticamente impossibile".

A distanza di oltre quaranta anni esiste finalmente una verità su come sono andate le cose e sulle responsabilità dell'attentato?

" In primo luogo è emersa l'assoluta estraneità degli anarchici, coinvolti ingiustamente come capri espiatori, dai veri autori e mandanti. Essi furono le vittime sacrificali di un progetto persecutorio, contro soggetti privi di qualunque possibilità di difesa, compreso Giangiacomo Feltrinelli, vittima di una diabolica macchinazione. Persino la Cassazione , nel 2005, riconobbe che esecutori e organizzatori di Piazza Fontana erano stati terroristi di Ordine Nuovo e bollò come errate le decisioni assolutorie della stessa Suprema Corte prese in precedenza.

I terroristi di Ordine nuovo furono manovrati da CIA, servizi segreti italiani, affari riservati, Stay Behind-Gladio e logge massoniche. L'esplosivo per Piazza Fontana fu fornito dai servizi americani, come riconobbero il generale Maletti e Francesco Cossiga nelle sue memorie. A fare da collante furono P2 e massoneria italo americana, legata a Cosa Nostra. Un ruolo cruciale fu svolto anche da Licio Gelli, raccordo tra politici, mafiosi, terroristi e Cia dall'Excelsior di Roma. Nell'alleanza di militari e civili, Gelli infiltrò i gangli vitali dello Stato, diventando il dominus degli apparati di sicurezza, parte integrante dell'alleanza eversiva, che assicurava le coperture a Ordine Nuovo. Beneficiario principale di Piazza Fontana fu la destra DC, come riconobbe Moro nel memoriale dalla prigione".

Nel suo libro “La Repubblica delle stragi impunite” ha scritto che esiste un filo che lega tutti gli eventi drammatici che hanno caratterizzato la storia italiana recente, da Piazza Fontana fino all'assassinio di Falcone e Borsellino. Di che legame si tratta?

"L'aspetto più importante da mettere in evidenza è che la strategia eversiva comprende tutte le stragi commesse in Italia dal 1969 ad oggi. Dietro tutti questi eventi c'è un unico grande regista, un soggetto occulto chiamato StayBehind-Gladio. Evocato spesso a sproposito, più spesso ignorato nei dibattiti degli storici, era per la Commissione Gualtieri un'organizzazione afflitta da 'illegittimità costituzionale progressiva', sotto il controllo del governo americano. Dipendeva dalla CIA e gestì il SIFAR , il Sid e il Sismi.. La CIA era organo di Governo degli Stati Uniti che ne approvava tutte le iniziative tramite l'ambasciatore a Roma. SB-Gladio riuscì a bloccare tutte le inchieste giudiziarie offrendo come colpevoli persone del tutto estranee alle stragi. Servì gli interessi di politici DC.

Questa entità fruì della massima protezione istituzionale, riuscendo a crescere ed espandersi e sopravvivendo a ogni reazione dello Stato legale. Coloro che tentarono di conoscerla e rivelarne la struttura furono spietatamente assassinati. Tra le sue vittime furono Falcone, Borsellino, Dalla Chiesa, La Torre, Mattarella. Ma l'elenco di chi è morto a causa di StayBehind è interminabile. Non solo uomini delle forze dell'ordine e magistrati ma anche un grande statista come Aldo Moro e centinaia di cittadini, lavoratori donne e bambini, che ancora oggi attendono giustizia. Di questa struttura clandestina, spesso salvata dal segreto di Stato opposto da chi aveva interesse a coprire se stesso, facevano parte organicamente Cosa Nostra, terroristi neri, imprese economiche, servizi segreti e massoneria, manovrati dalla CIA. A fare da collante fu la Loggia P2 infiltrata in ogni organismo dello Stato e nelle alte sfere del potere".

Pensa che l'epoca dello stragismo sia definitivamente tramontata per il nostro Paese o ritiene che sia ancora un pericolo esistente?

"La struttura politico militare che ha commesso le stragi da Piazza Fontana a via D'Amelio è intatta ed anzi si è rafforzata. E dunque il pericolo del ripetersi di stragi come strumento di lotta politica esiste ed è grave. Dietro c'è come sempre l'ombra sinistra della politica e dei poteri economici e finanziari, quelli che fanno capo a gruppi insospettabili con la testa fuori dall'Italia. Il dubbio atroce è che la strategia delle stragi si estenda fino alla strage di Brindisi del 2012, alla scuola Morvillo Falcone, ove fanciulle ignare e piene di speranza sono state distrutte senza sapere perchè e da chi, in oltraggio alla memoria di due martiri Falcone e Morvillo. Non fu follia né mafia né anarchia.. Il mostro è ancora in agguato. Una storia all'insegna del più spietato machiavellismo. Una storia tragica che rischia di ripetersi".

La profonda crisi economica e sociale in corso può riportare l'Italia ai drammatici anni Sessanta e Settanta ?

"I sacrifici imposti agli operai alle famiglie dei senza reddito e senza casa, ai pensionati e ai giovani sono ormai insostenibili. Le ingiustizie sociali sono cresciute. I privilegi dei politici , dei finanzieri e dei capitalisti sono rimasti intatti. Se il declino non verrà interrotto vi è il pericolo di una rivolta sociale da parte di lavoratori, studenti e disoccupati con episodi di violenza e forse di terrorismo che saranno strumentalizzati da chi vuole imporre la più dura delle repressioni e un governo forte che tenderà a demolire la Costituzione. Ma guai a imboccare la strada suicida del terrorismo e della violenza. Bisogna usare le armi della protesta civile, della opposizione democratica, non esistono scorciatoie, a meno di non volere fare il gioco dei responsabili di questa situazione. Il pericolo non è solo nella possibile ripresa del terrorismo rosso e nero ma nella sua strumentalizzazione da parte dei poteri occulti, come è già avvenuto nel recente passato. La previsione sulle conseguenze della gravissima crisi va fatta rivolgendo uno sguardo al passato, agli anni Sessanta/Settanta, e alla strategia delle stragi. Ma anche al presente".

Da decenni ormai in Italia esiste una relazione molto stretta tra politica e malaffare. Cosa fare per uscire da questo circolo vizioso?

"In effetti questo è il periodo più buio della storia d''Italia, con una classe politica corrotta e incapace di governare e una giustizia che non riesce a colpire i responsabili delle stragi e dei fenomeni degenerativi criminali più pericolosi che riguardano Cosa Nostra, la corruzione diffusa, l'evasione fiscale e l'aggressione all'ambiente. La sola via di uscita è il rinnovamento totale della classe politica".

Durante gli anni del governo Berlusconi lo scontro tra politica e magistratura è stato molto aspro. Esiste un problema di equilibrio fra i poteri?

"Si tratta di un falso problema. Lo scontro è avvenuto tra i politici e la legge, da loro ripetutamente violata, per via dei dilaganti episodi di corruzione, malaffare, concussione, abuso in atti di ufficio, sperpero del pubblico denaro, evasione fiscale, collusioni con la criminalità organizzata, abusi sessuali su minori, induzione alla prostituzione. Tutto questo con la copertura di leggi ad personam e di amnistie camuffate da riforme garantiste, dirette invece a tutela dei poteri forti, quale la legge contro la corruzione che ha ridotto la pena per la concussione fraudolenta e ha omesso di punire il falso in bilancio, reato strumentale alla corruzione, e il conflitto di interessi, che è stato depenalizzato. La magistratura ha solo cercato di applicare la legge, come imposto dalla Costituzione, reprimendo, come era suo dovere, fenomeni criminali gravissimi commessi dai politici. Nessuno scontro politica-magistratura. Lo scontro è stato ed è tra giustizia e corruzione, e noi siamo schierati a favore della giustizia".

Michael Pontrelli
Fonte » notizie.tiscali.it
Link »  notizie.tiscali.it/
11.12.2012

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Imposimato fa anche riferimento al famigerato Gruppo Bilderberg, ormai noto a tutti i complottisti che frequentano il web (e non solo), ma lo fa portando un elemento di estremo interesse. Il primo ad aver trovato un legame tra il Bilderberg e la strategia della tensione italiana fu il magistrato Emilio Alessandrini, ucciso nel 1979 da un gruppo terroristico di estrema sinistra contiguo alle Brigate Rosse, Prima Linea. Le semplici note di wikipedia, dedicate a questo autentico e misconosciuto eroe della storia contemporanea italiana, suggeriscono in maniera limpida il contesto in cui è avvenuto l'omicidio di Alessandrini: "L'omicidio di Emilio Alessandrini è stato un atto terroristico avvenuto a Milano il 29 gennaio 1979, ad opera di militanti dell'organizzazione comunista Prima Linea. [...] Il 27 febbraio 1972, Alessandrini fu assegnato con Gerardo D'Ambrosio al processo sulla Strage di Piazza Fontana. [...]

Oltre a Piazza Fontana, Alessandrini era stato molto impegnato nella lotta al terrorismo, soprattutto quello legato agli ambienti della destra estrema e della sinistra militante. Nell'ambito di queste indagini, arrivò a scoprire alcune attività di depistaggio del Servizio Informazioni Difesa, [... ovvero i servizi segreti militari istituzionali italiani...]. Alessandrini collegò il SID [...] ad alcune azioni terroristiche di ispirazione neofascista. Alessandrini, al momento dell'omicidio, stava lavorando per creare un pool antiterrorismo che raccogliesse magistrati da diverse procure, per coordinare meglio il lavoro. Già il 13 settembre 1978 durante un'irruzione nell'appartamento in Via Negroli del terrorista Corrado Alunni, era stata rinvenuta una scheda su Alessandrini: quel tipo di scheda, nel quale venivano raccolti tutti gli elementi necessari a organizzare un agguato, era in genere il primo passo verso un'azione violenta. La scheda era tanto dettagliata che Alessandrini sospettava fosse stata fornita dagli stessi servizi segreti".

Bron » wikipedia.org | www.comedonchisciotte.org

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Inderdaad Walter en zo zijn er nog wel enkele interessante "salons". Imposimato zou blijkt nu, ook een boek schrijven, met uitleg over het opgedoken document:

In his book, Ferdinando Imposimato also speaks of the Bilderberg Group, mentioned in a document written by Emilio Alessandrini in 1967 -more than 40 years ago. “In this document, which I have quoted literally, it is mentioned that the Bildenberg Group is one of the biggest promoters of the strategy of tension, and therefore also behind the massacres. Here’s what Bilderberg does: It rules the world and democracies in an invisible way, influencing the democratic development of these countries.”

Bron » deadlinelive.info

Er was blijkbaar al sprake van in januari » www.libreidee.org

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Hier een lijst van de Italiaanse Bilderbergers » ilcorsivoquotidiano.net

Zijn alle leden nu zwarte samenzweerders en wordt alle kwaad éénduidig beslist met de volle kern en in consensus op de jaarlijkse vergaderingen? Nee, natuurlijk niet. Maar bepaalde subgroepjes zijn er zeker niet alleen aanwezig om koffie te drinken. En vinden ze elkaar niet op Bilderberg, dan zijn er nog genoeg loges, clubs en orden om in goed gezelschap een spelletje Stratego of Monopolie te spelen. SMOM, AESP, P2, Cercle Pinay, IESP, Cercle des Nations, WACL, de Trilaterale, ... Feestjes genoeg. En steeds dezelfde kern van party crashers.

In de lijst staat ondermeer de volgende interessante figuur: Eugenio Cefis, wat ons recht naar de P2-loge brengt (en dus Ordine Nuovo, Avanguardia Nazionale, ...). Wat ook opvalt is het aantal personen uit de Europse federalistische sfeer (à la "Otto von Habsburg" zeg maar) en de grote aantallen journalisten. Het is mij altijd al opgevallen hoe journalisten uit Italië (maar ook Griekenland) vaak goed in het geld zitten en naar alle dure dinners mogen gaan. Ik zie het de redactie van pakweg De Morgen nog zo snel niet doen.

Dus hebben we volgens de info van Imposimato de volgende actie-reeks: Bilderberg > P2-loge > Gladio-aanslagen

Een aantal Italiaanse Bilderbergers vertoefde inderdaad graag in masonische sferen, zoals Vittorio Valletta in 1954 (Italiaanse Groot-Oosten), inclusief deze van de P2-loge (Mario Pedini, Gianfranco Piazzesi en Eugenio Cefis). Een ander aantal was te linken aan de NATO, zoals ex-secretaris-generaal Manlio Brosio (1965-67), Gian Giacomo Migone (1971), Roberto Ducci (1972-78), of had zelfs een fascistische achtergrond, zoals Amintore Fanfani in 1957 (ondertekende het "Manifesto della Razza"). Om nog maar niet te spreken van de anderen (zelfs uit socialistische hoek) die via de P2-loge veel te rapen hadden.

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Op 25/09/1952 werd in Parijs een bijeenkomst gehouden onder voorzitterschap van de Nederlandse Prins Bernhard, waar opusiaanse en paneuropese kringen met amerikaanse medestaanders keuvelden over de uitbouw van een Euro-Atlantische as. Deelnemers waren ondermeer Walter Bedell Smith (CIA en ACUE), Antoine Pinay, Paul Van Zeeland en Alcide de Gasperi. Ook André Voisin (AESP) en Pierre de Bonvoisin (vader van Benoit de Bonvoisin) kunnen beschouwd worden als stichtende leden. Deze bijeenkomst was bijzonder succesvol en vond nadien jaarlijks plaats onder de naam Bilderberg-conferenties, genaamd naar de meeting in mei 1954 in het 'De Bilderberg Hotel' nabij Arnhem.

In maart 1955 kwam de groep samen nabij Parijs om te debateren over "Communist influence in the West, European Communist parties and political, ideological and economic ripostes to the Red Menace". Tijdens de septembervergadering van hetzelfde jaar in Garmisch-Partenkirchen was er sprake van een plan "To arrive in the shortest possible time at the highest degree of integration, beginning with a common European market”, wat zo'n twee jaar later leidde tot het Verdrag van Rome. Verschillende Bilderbergers hadden paneuropese sympathieën, zoals Franz Josef Strauss, Giulio Andreotti, Pierre Pfimlin en Ludwig Bolkow.

Volgens een bewering uit 2009 van Bilderbergvoorzitter Etienne Davignon zat de club achter de invoering van de Euro, wat ondersteund wordt door BBC-onderzoek uit 2003. Davignon, een voorvechter van Europese integratie, werkte in de jaren '60 voor Paul-Henri Spaak, deed dienst als EU-commissaris voor industrie, is een kopman bij Suez-Tractebel en is daarnaast ook de president van "Friends of Europe". Jurist Alfonso Luigi Marra vroeg in februari 2013 aan de openbare aanklager in Rome om de criminele activiteiten van de organisatie na te gaan, ondermeer door in de 2011-vergadering Bilderberger Mario Monti, Europese voorzitter van de Trilaterale Commissie en een ex-adviseur voor Goldman Sachs, als Italiaanse premier vast te leggen in opvolging van Berlusconi, maar ook voor het engineeren van militaire en economische crisissen en het bewapenen van dictators.

Even verdacht is de keuze van Herman Van Rompuy als Europese president, enkele dagen na zijn deelname aan een Bilderberg-dinner in november 2009. In 2010 gaf Bilderberger en ex-secretaris-generaal van de NATO Willy Claes toe dat de organisatie haar leden madaten verstrekt om beslissingen in te voeren die worden gemaakt op de jaarlijkse vergaderingen.

Nu, we schrijven april 2013, beweert de Italiaanse toprechter Ferdinando Imposimato (eerder betrokken bij de rechtzaak rond Moro en de aanslag op J.P. II) dat hij een document gevonden heeft die in het bezit was van Giovanni Ventura, een fascist van Ordine Nuovo gestorven in 2010, dat aantoont dat Bilderberg mee achter de NATO-gelinkte terroristische aanslagen zat van de loden jaren. Afwachten, maar Imposimato is niet om het even wie, en zeker niet zomaar een conspiracy nut.

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