Volgens dit artikel van Le Soir woonde de vriendin van Marbaix op het nummer 395 in de Vanderkinderestraat in Ukkel.
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Bende van Nijvel → Posts by Merovinger
Volgens dit artikel van Le Soir woonde de vriendin van Marbaix op het nummer 395 in de Vanderkinderestraat in Ukkel.
Advocaat en wapenliefhebber uit Brussel die de vooral gekend was als advocaat van de Front National. In 1994 werd tijdens een huiszoeking bij Delacroix een hele reeks wapens in beslag genomen.
QUINZE JOURS APRES L'AFFAIRE MARBAIX, UN AVOCAT BRUXELLOIS ARRETE: IL POSSEDAIT UN ARSENAL
Je suis collectionneur! C'est ainsi que l'avocat Michel Delacroix a justifié la quinzaine d'armes découvertes chez lui, accompagnées d'une abondante littérature néo-nazie. Michel Delacroix a été placé jeudi sous mandat d'arrêt, et gardé au secret. C'est la deuxième affaire de ce genre en moins de quinze jours.
C'est mercredi que la police judiciaire a effectué une perquisition au domicile de Michel Delacroix, un avocat (le seul avocat aveugle de Bruxelles) de 44 ans. À son domicile du boulevard de la Cambre, à Ixelles, les autorités ont découvert un impressionnant arsenal: une quinzaine d'armes de guerre et de défense accompagnées de centaines de munitions, ainsi qu'une large documentation d'extrême droite et néo-nazie. Des perquisitions simultanées ont également eu lieu chez deux amis de Delacroix, un restaurateur et un ouvrier, ex-militaire de carrière. Chez eux aussi, des armes de défense et de guerre.
Les raisons qui ont poussé le juge d'instruction Mandoux à délivrer les mandats de perquisition restent pour l'instant floues. Mais Michel Delacroix était surtout connu pour être, entre autres, l'avocat du Front national. Les deux "amis" de Delacroix, dont les identités n'ont pas été révélées par le parquet, possédaient notamment une carabine 22 long et des armes de poing. L'un en justifie la propriété par des menaces qui pèseraient sur lui, l'autre pour faire plaisir à Delacroix. Tous trois ont été placés sous mandat d'arrêt pour détention illicite d'armes de défense et de guerre.
Les premières expertises auraient déjà révélé des origines "inquiétantes" pour certaines armes, et d'autres auraient été savamment transformées par des accessoires tels que des silencieux.
Mais l'affaire est encore plus alarmante lorsque l'on se souvient de la découverte faite le 5 novembre dernier chez Lucien Marbaix, un ex-agent de la gendarmerie. Chez lui aussi, des armes de guerre, de défense et de poing; chez lui aussi, une littérature néo-nazie imposante; chez lui aussi, des munitions pour tout un régiment. Et Lucien Marbaix et Michel Delacroix sont tous les deux liés de près à des mouvements d'extrême droite. Lucien Marbaix avait déclaré lors de son arrestation: Je me préparais à un éventuel bouleversement politique... Une déclaration qui prend aujourd'hui une résonance supplémentaire.
Bron: Le Soir | Olivier Van Vaerenbergh | 18 november 1994
Un ex-gendarme du Westland New Post arrêté à Uccle après une saisie impressionnante d'armes en tous genres à Ixelles - Emblèmes nazis, canons sciés, balles explosives, etc.
En 1981, Marbaix "signait" déjà au poinçon les balles du WNP. Après le groupe G, il dit être aujourd'hui du Vlaams Blok.
Samedi à l'aube, la PJ a déclenché des perquisitions en série. À trois endroits, elles ont permis la saisie d'une quantité impressionnante d'armes blanches et à feu (dont bon nombre avec silencieux), de caisses de munitions, mais aussi de fichiers détaillés sur des hommes politiques et du monde des affaires, des policiers et gendarmes proches de l'extrême droite ou ayant enquêté sur elle, ainsi que des journalistes.
Avec, pour certains, des plans de repérage des lieux de résidence. Avec aussi une abondante littérature extrémiste et nazie, des revues révisionnistes, des emblèmes, des portraits et un In Memoriam de Hitler. Avec dédicaces personnelles, des portraits d'Erickson, le dernier leader de l'ex-VMO et de Degrelle (A mon ami Lucien Marbaix, 21.1.91). Des documents et des notes sur les tueries du Brabant, le WNP, Gladio (du nom italien des stay behinds, les réseaux dormants)...
Une copie conforme des panoplies saisies au cours de l'été 1983, lors de la découverte de l'existence du groupe néo-nazi Westland New Post.
Depuis plusieurs semaines, sur base d'un "tuyau" du commissaire Marnette, la PJ suivait les allées et venues d'un ancien gendarme bien connu dans les milieux durs de l'extrême droite: l'ex-maréchal des logis Lucien Marbaix, 45 ans, proche du groupe G (les gendarmes d'extrême droite), impliqué dans l'affaire du WNP au début des années 80 et finalement exclu du corps en 1986. C'est lui qui avait démonté puis remonté des munitions dont il avait marqué les balles au poinçon: selon certains au WNP, ces balles, emportant cette signature, devaient servir à des attentats racistes. Après la dislocation du WNP en 1983, Marbaix suivit un de ses leaders, Michel Libert, dans un autre groupement d'extrême droite, Les compagnons du Christ Graal.
Les services spécialisés de la PJ, tels que le groupe Rotor, le GSO ou la BNB, ont réussi à déterminer que Lucien Marbaix, domicilié rue Vanderkindere à Uccle, et dont l'ex-épouse vit toujours au boulevard Général Jacques à Ixelles, utilisait un grand nombre d'armes différentes, notamment lorsqu'il s'exerçait au tir dans un club d'Anderlecht.
Dans la cave louée avec l'appartement du boulevard Général Jacques, les enquêteurs ont découvert, derrière une cloison montée contre un mur, la plupart des armes: de guerre, de poing (de calibres 7,65 et 9 mm), d'épaule (dont deux fusils à répétition Pietta à crosses et canon soigneusement sciés et munis de silencieux fabriqués par Marbaix, un étonnant pistolet-carabine 22 avec silencieux, et deux copies en cal. 22 du pistolet mitrailleur russe Tokarev avec silencieux), ainsi que des canons, des percuteurs et du mercure, utilisé pour rendre les munitions plus dangereuses.
Lucien Marbaix a été tiré du lit chez son amie, au 395 rue Vanderkindere à Uccle. Il était en possession de la seule arme de poing pour laquelle il avait une autorisation, et qu'il porte sur lui en permanence, parce qu'il se sent menacé, a-t-il indiqué.
Il a suivi les policiers sans difficulté jusqu'à l'appartement qu'il louait à son nom, deux maisons plus loin, au 387. Là, on a saisi, outre la documentation de Marbaix, de nombreuses caisses de munitions: environ 5.000 cartouches de tous calibres. Dans le lot, des munitions explosives, des balles à têtes creuses. Et des armes blanches: nunchaku, poings américains, matraques, crans d'arrêt et le redoutable assommoir à poinçon recourbé figurant sur notre photo. Des croix gammées, celtiques, des emblèmes de la SS...
Le juge Vandermeersche a inculpé Marbaix, qui reconnait la propriété de toute la panoplie en se disant "collectionneur", d'infractions à la législation sur les armes et l'a arrêté. Le matériel saisi est à l'expertise. L'ex-épouse de Marbaix, Anne, et son amie Françoise sont inculpées mais restent libres.
Marbaix aurait aussi déclaré être obligé, par ma philosophie et mes idées politiques, de préparer des actions en cas de bouleversement politique. Le leitmotiv d'un ami de Marbaix, l'autre ex-gendarme du groupe G, Martial Lekeu, actuellement en Floride. Marbaix, occupé comme surveillant dans des grandes surfaces, se revendique d'une extrême droite dure et affirme appartenir aujourd'hui au Vlaams Blok.
Les armes et emblèmes saisis rappellent aussi les panoplies découvertes en 1989 dans un stand de tir sous la maison d'un autre ex-gendarme d'Oupeye, Hubert Defourny, le leader du groupe "Agir", et en 1990 à Herstal, chez Henri Frère, un militant du "Dare", autre groupe dur d'extrême-droite.
Bron: Le Soir | René Haquin en Olivier Van Vaerenbergh | 8 november 1994
'On te descend' betekent 'we knallen je neer'.
Duidelijk de lievelingspiste van noorderling die weer 25 € zal kunnen uitsparen!
De titel van het boek is: "De Bende van Nijvel - verraad, manipulatie, geheime diensten"
ISBN: 978-94-6131-366-9
288 blz
Meer info » issuu.com (pag. 9)
Smets doet in de volgende Franse documentaire over de geheime legers van de Nato toch wel een heel merkwaardige uitspraak over de verhalen over zijn mogelijke betrokkenheid bij het geheime Gladioleger van de Staatsveiligheid, zijn manipulatie van extreem-rechts en de Bende van Nijvel (het Belgische luik begint op 27'33", de uitspraak van Smets begint op 33’33”):
"Ce que je vais vous dire: c'est qu’on n’a toujours pas trouvé le début de commencement d’un indice trente ans après. Et là j’en reste la. On n’a rien! Si on n’a rien - je suis désolé mais on peut me considérer comme suspect tant qu’on veut - on n’a rien, DONC je suis innocent. Et là point final."
Eigen vertaling:
"Wat ik u zal zeggen: is dat men dertig jaar later nog altijd geen aanvang van begin van bewijs heeft. En ik laat het daar. Men heeft niets! Als men niets heeft - het spijt me maar men mag mij zolang men wil beschouwen als verdachte – men heeft niets, DUS ben ik onschuldig. Punt andere lijn."
Ik vind dit een heel merkwaardige uitspraak. Moest hij echt onschuldig zijn waarom zegt hij niet gewoon: "Ik heb daar niets mee te maken, ik ben onschuldig." Hij zegt, zoals zijn vroegere baas Albert Raes, iets helemaal anders (!!): "Men heeft niets, DUS ben ik onschuldig." Betekent dit dat er dan toch nog altijd iets moet gevonden worden in zijn richting? Heeft Smets er wel degelijk iets mee te maken maar wordt dat bewijs maar niet gevonden en zal hij het pas toegeven de dag dat het bewijs gevonden is?
Het kan toeval zijn maar ik merk ook op dat hij bijna dezelfde bewoording gebruikt als Opus Dei in haar brief van 1989 als reactie op de uitspraken van speurder Guy Dussart voor de Bendecommissie. Geeft Smets met zijn uitspraak tegelijkertijd een boodschap naar anderen toe?
Let ook wat verder in de documentaire op op de anonieme getuigenis van een collega (Michel Dufrane?) van Smets die aanhaalt dat Smets hem heeft aangesproken om deel uit te maken van een speciale niet-officiële sectie P van het stay-behind netwerk. Deze collega verduidelijkt dat er enerzijds het officiële stay-behind netwerk was, dat weliswaar zeer geheim was maar officieel, en anderzijds een niet-officiële sectie. Deze sectie werd op vraag van Albert Raes opgericht om heel bijzondere 'kromme' karweien uit te voeren. Die collega vertelt verder dat hij effectief een aantal ‘vuile’ zaken heeft gedaan en gewrongen was om dit niet aan de gerechtelijke of politiediensten te melden.
Uit het boek "Des Taupes dans L'Extreme-Droite - La Surete de l'Etat et le WNP" van René Haquin:
Michel Libert a 25 ans lorsqu'éclate l'affaire du WNP. Ancien élève des frères maristes, fils unique d'un père originaire des cantons de l'est et d'une mère bruxelloise, il dit avoir été introduit dans l'Ordre teutonique par un grand-père d'adoption, Michel Vanden Hauwe, en 1958. Michel Libert a été initié dans une crypte située, me dit-il, dans l'Ilot Sacré à Bruxelles.
(...) dans l'ordre teutonique, Michel Libert s'appelle baron Michaël von Graffenberg. Ses humanités terminées, il entre à la force navale et navigue pendant 1200 jours, notamment sur le drageur côtier Mechelen.
A 15 ans, il est chef d'une troupe de sea scouts. Son totem lui ressemble : tamanoir sérieux.
Il dit avoir, en Allemagne surtout, des contacts avec des agents du contre-espionnage. Certains contacts sont à Cologne. Parmi les Allemands avec lesquels il collabore, Michel Libert parle d'agents du PAL (Polizei Algemeine Lichtung) mais aussi des chevaliers de l'Ordre, anciens de l'université SS de Bad Tülz avant 1937.
Geen probleem noorderling. Ieder van ons heeft een eigen mening en mag/moet die hebben. Daarom probeer ik op het forum zoveel als mogelijk de letterlijke citaten of andere informatie over te nemen samen met de bronvermelding. Dan kan ieder van ons over die info zelf zijn eigen conclusies trekken. Over het geval van Raes heb ik zo mijn bedenking. Jij interpreteert het duidelijk anders. No problem.
Merovinger, wat vindt u precies 'schitterend' aan deze antwoorden? Ik lees er weinig bijzonders in.
Noorderling: dat is uiteraard ironisch bedoeld. Ik wil daarmee zeggen dat Raes de zeer concrete vragen toch wel mooi ontwijkt. Hij antwoordt helemaal niet op de vraag. Echter doet hij dit op een heel bizarre manier door er een volledig van de pot gerukte nietszeggend antwoord op te geven (en komt daar dan nog mee weg ook t.o.v. de journalist die naar mijn mening te weinig durft door te vragen). Anderzijds toont hij met zijn mistige antwoorden eigenlijk net aan dat er mogelijks wel een link is tussen de Bende van Nijvel en het Gladio-netwerk!
Hij had bijvoorbeeld al op de eerste vraag (of er een verband kan geweest zijn tussen dat netwerk [Gladio-netwerk] en de Bende van Nijvel) als volgt kunnen antwoorden - zelfs als hij daarmee zou liegen:
"De leden van de Bende van Nijvel zijn (mij) niet bekend dus kan ik ook niet zeggen of dat mensen zijn die deel uitmaakten van het Gladio-netwerk."
Met het bovenstaande voorbeeldantwoord zou hij de vraag niet alleen afgeblokt hebben maar zou hij daarmee tegelijkertijd gezegd hebben de identiteit van de Bendeleden niet te kennen. Dat zou een héél ander antwoord geweest zijn dan het antwoord dat hij in de studio gegeven heeft. Lees nog eens goed wat hij geantwoord heeft. Probeer soms eens meer te denken aan wat niet gezegd (geschreven) wordt dan wat er wel wordt gezegd (geschreven) door betrokkenen bij dit dossier.
Dus zoals kenza aangeeft: Raes heeft er zich uitgeluld doch daarmee ook - nog maar eens - aangetoond geen groot licht te zijn. Dat heeft misschien ook te maken met het feit dat ik ondertussen het boek van de gepensioneerde agent van de staatsveiligheid, Gerald Damseaux, heb gelezen. In dat boek worden het amateurisme en de wanpraktijken van Albert Raes en andere directieleden op basis van een aantal concrete anekdoten op een sublieme manier aangetoond. Ook blijkt uit het boek duidelijk wat voor een ‘geschifte’ persoonlijkheid Albert Raes heeft. Maar later meer daarover.
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