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Uit het interview met Leopold Van Esbroeck:

U leefde in een merkwaardige wereld. Stelen voor een gevangenisdirecteur. Overvallen beramen met een GP-commissaris.

"De vraag is of wat ik meemaakte wel zo uitzonderlijk was. We hebben nadien de affaire-Reyniers gehad, de affaire-Halot, ... Allemaal lui van de Brusselse GP. Men wist daar heel goed hoe close Freddo met bepaalde gangsters was, en men vond dat normaal. We liepen daar in en uit. Men sloot de ogen. Wat ik verontrustend vind is dat een aantal mensen van die generatie daar nog steeds zit en vandaag meer dan ooit onaantastbaar is."

"Neem nu Georges Marnette (commissaris bij de Brusselse GP, nvdr), die was ook altijd van de partij. Hij wordt nu door de pers witgewassen. Ik vraag me af hoe dat kan. Evidenter dan in de zaak-Di Rupo kan een manipulatie toch niet zijn? En waarom doet zo'n Marnette dat? Men kan van mij niet verlangen dat ik nog enig geloof hecht aan de instellingen die door dit soort mensen worden vertegenwoordigd. Ik heb hen gekend, in hun bars waar ze zich te pletter zopen met de grootste criminelen van het land."

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Deze mensen hebben een en ander te vertellen over het onstaan en de verdere evolutie van Gladio in Europa » YouTube

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Van de website van de CIA: Deze dame startte in 1945 het eerste na-oorlogse counterintelligence office in Brussel voor de Amerikaantjes, nog voor de Cia officieel vorm kreeg. Brussel moeten we dus niet onderschatten, onze hoofdstad staat sinds lang onderlijnd op de Europese kaart van de Amerikanen.

The People of the CIA ... A CIA Trailblazer: Eloise Page

Eloise R. Page was a prominent and well-respected Central Intelligence Agency (CIA) officer, who shattered several glass ceilings during her remarkable intelligence career. Her journey began in May 1942 when she worked as a secretary to Gen. William J. Donovan, the head of the Office of Strategic Services (OSS)—the predecessor agency to CIA. Page worked for Donovan for several intense and exciting years, learning the business of espionage. It was during this time she developed a passion for intelligence work.

Reaching Top Ranks Overseas

Toward the end of World War II, Page worked as an administrative assistant to the director of a new division within the OSS called X-2, which focused on counterintelligence. In this position she moved to Brussels, Belgium, in 1945 and helped open the first post-war station.

After World War II, the OSS was dismantled. But it was not long before President Harry S. Truman recognized the need for a postwar intelligence organization. In 1947, he created the CIA. Page became one of the Agency’s first employees. With the creation of the CIA, Page worked in the directorate that later became the Directorate of Operations (DO), now known as the National Clandestine Service (NCS).

Throughout her impressive career in the DO, Page rose through the ranks, eventually becoming the directorate’s No. 3 officer. It was through her hard work and dedication that she became a case officer and later, the first female Chief of Station (COS) - the highest job for case officers abroad. Page assumed this COS position in the late 1970s. She also became one of CIA’s experts on terrorist organizations.

Page was the first woman to serve as the Deputy Director of the Intelligence Community staff and Chairman of the Critical Collection Problems Committee, responsible for allocating collection assets on critical problems facing the United States. She became such a well known expert on terrorism and collection issues that the Defense Intelligence College invited her to join their faculty after she retired from the CIA.

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MELCHIOR WATHELET: "JE CONNAISSAIS L'EXISTENCE DE GLADIO!"

Le ministre de la Justice témoigne devant la commission sénatoriale
Melchior Wathelet: "Je connaissais l'existence du réseau Gladio"
Les services secrets? "Un équilibre entre la confiance et le contrôle"

C'est le ministre de la Justice, Melchior Wathelet, qui était l'invité, hier, de la Commission d'enquête sénatoriale sur le réseau Stay behind, également appelé "réseau Gladio". Un témoignage lucide, courageux, et à mille lieues des discours démagogiques si souvent entendus. Un témoignage, de surcroît, en contradiction avec ceux de MM. Coëme et Tobback. Les questions fusent sur les bancs des sénateurs. D'abord du président de la Commission, Roger Lallemand, puis de MM. Erd-man, Hasquin, Arts, De Beul et Diegenant. Qui connaît les noms des membres de Gladio? Quels liens le Stay behind belge avait-il avec l'Otan? N'y a-t-il jamais eu de liens entre ces réseaux "officiels" et d'autres (la Ligue mondiale anticommuniste - WACL, Paix et liberté, Milipol)? Quand le ministre a-t-il été prévenu?

"MOI, JE SAVAIS"

Une première réponse tonne comme l'orage dans la salle du Sénat où sont réunis les commissaires: J'ai été prévenu, dit Wathelet, dès le tout début, dès mon entrée en fonction. Par l'Administrateur général alors en fonction, M. Raes. La mode est aux scandales, aux cris de vierges politiques outragées, mais Melchior Wathelet n'en a apparemment cure: courageusement, il laisse entendre que lui, il savait tout ou presque, contrairement à ce qu'affirment certains de ses collègues. J'ai su depuis le début qu'il y avait ce réseau qu'on appelait "Harpoon" (ndlr: du nom des nouveaux postes de radio qui devaient lui être remis). Qu'il y avait l'opération Stay behind. Que la démarche la plus importante de la Sûreté à cette époque était de mettre en place ce réseau Harpoon. J'ai été mis au courant de la procédure engagée en 1984 pour l'achat de ces radios. J'ai été informé des exercices (particulièrement pour ceux qui avaient un caractère international). J'ai même envoyé l'un de mes collaborateurs à l'un de ces exercices, en Allemagne. Voilà donc, enfin, un ministre qui a exercé les contrôles qui convenaient, et posé à temps les bonnes questions!

Mais Melchior Wathelet va plus loin. Vous mêmes, dit-il aux parlementaires, aviez de fins limiers parmi vous. Le 16 juin 1984, M. Burgeon (député PS), demandait au ministre de la Justice pour quelle raisons le Conseil des ministres avait accordé un crédit de 10 millions à la Sûreté. M. Gol lui avait répondu de façon sublime: "La décision a été motivée par les nécessités de la Sûreté extérieure de l'Etat."

UNE PROMESSE À RESPECTER

Mais le ministre de la Justice va bien plus loin. À propos de l'identité des agents au service de la "Section spéciale", il remarque que promesse a été faite à ces personnes, avec l'autorisation du gouvernement, de protéger totalement leur identité. Une promesse, souligne-t-il, qui était d'ailleurs une condition de leur engagement. J'estime que je dois respecter cet engagement pris au nom de la Belgique. C'est un problème d'efficacité, de confiance, de contrôle. La difficulté, c'est de trouver un équilibre entre la confiance et le contrôle. Si le secret nécessaire au fonctionnement de ces services est bien protégé, alors l'inefficacité du contrôle augmente. Si par contre l'efficacité des contrôles est accrue, c'est aussi l'efficacité de ces services qui risque d'être atteinte. Nous devons chercher des méthodes adultes pour atteindre un niveau satisfaisant de transparence et de contrôle démocratique sans entraver l'efficacité de ce type de services.

Mais aujourd'hui, j'ai les plus grandes inquiétudes sur nos capacités à maintenir un secret. Je fais le pronostic qu'à l'issue de vos travaux vous aurez encore et toujours des doutes, des sentiments mélangés. Vous aura-t-on tout dit? Vous aura-t-on livré toutes les listes? Complètes. Je crois qu'il faut respecter a priori le travail de ces gens. Si nous ne pouvons nous défaire de soupçons à leur égard, si nous ne sommes pas capables de leur accorder un minimum de confiance, de prendre un minimum de risques, il reste à notre démocratie un autre choix : celui de ne pas utiliser de tels services. Dans l'emballement de la découverte de ces réseaux, plusieurs pays en ont décidé la dissolution. Peut-être sans bien faire le calcul du capital ou du savoir-faire qui y avait été accumulé.

Sur les questions concrètes, Melchior Wathelet est tout aussi clair que dans son exposé "théorique": Légalement, Stay behind n'avait aucun rapport avec l'Otan. Mais j'ai le sentiment que, concrètement, les liens étaient étroits... Je n'ai pas connaissance d'agents ayant appartenu parallèlement à des réseaux privés. Si ce devait être le cas, ce serait une trahison... Je ne sais si des gendarmes faisaient partie de Stay Behind. Cela ne m'étonnerait pas. Cela aurait été une bonne mesure compte tenu des missions confiées à ces agents dans un contexte de confiance. Cela ne me paraît pas anormal si c'était dans un but patriotique. Même si le mot patriotisme est ambigu et bien moins clair aujourd'hui qu'au lendemain de la guerre.

Au-delà du témoignage de Melchior Wathelet, hier au Sénat, plusieurs informations concernant l'enquête nous sont encore parvenues. Hier matin, Guy Coëme a remis en mains propres aux magistrats émérites Trousse et Dubois la liste des militaires qui faisaient et avaient fait fonctionner Stay behind au service général de renseignement de l'armée. Le ministre de la Défense a encore reçu, hier, une série de documents belges qui étaient "en dépôt dans les services secrets britanniques, mais ils n'ont pas encore été livrés à la Commission au travers des "gardiens du secret" que seront ces deux (voire trois?) magistrats. D'autre part, on nous a laissé entendre récemment, dans des milieux proches du service de renseignement militaire, que tous les documents encore à Washington pourraient ne pas être remis aux autorités belges et que, même si les listes d'agents civils de Stay Behind sont rapatriées... ceux qui en détiennent les clés de décodage auraient fait le choix de ne pas les livrer à la Commission d'enquête ni même aux "sages" choisis par elle.

Bron: Le Soir | 9 Februari 1991

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(27 replies, posted in Journalisten)

dim wrote:

Zou Dupont gechanteerd worden?

En dus ook Marnette.

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(50 replies, posted in Andere Personen)

the end wrote:

Ils ont été dénoncés par le service secret auquel ils sont liés par contrat OCRB

OCRB = l'Office Central de Répression du Banditisme

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Sorry, maar ik kan hier geen touw aan vastknopen. Eddy Vos heeft nooit deel uitgemaakt van de Delta cel in Dendermonde en werd pas in 1996 toegevoegd aan het onderzoeksteam. Doodsbedreigingen zijn enkel zinvol om iemand te laten zwijgen of een onderzoek te laten stopzetten. Waarom en waarover zou Vos nu ineens moeten zwijgen, hij maakt geen deel meer uit van de Cel Waals Brabant. Weet Vos wat teveel over mogelijke malversaties bij de Delta cel en zet Martin hem onder druk hier zijn boekje over open te doen - tegen de zin van de dreigers?

Ben wrote:

Vos werkt sinds zijn vertrek bij de Cel Waals Brabant bij DGJ/MM, wat staat voor Gerechtelijke Dienst Militair Milieu.

De leden van de Dienst van de gerechtelijke politie in militair milieu worden belast met de gespecialiseerde onderzoeksopdrachten bij de krijgsmachten. De bevoegdheden van de DJMM strekken zich uit over het nationale grondgebied en op de plaatsen waar Belgische strijdkrachten actief zijn in het buitenland. De activiteiten van DJMM zijn multidisciplinair maar de toegekende onderzoeken zijn steeds meer van financiële aard (zoals omkoping, oplichting, geldverduistering, valsheid in geschriften en gebruik van valse stukken).

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Yes Minister (BBC): Aflevering 'The Whisky Priest'

Wie herinnert zich nog deze heerlijke BBC sitcom? Een satire op het politieke leven in de UK in de jaren tachtig. Deze aflevering gaat over hoe wapens van Britse wapenbedrijven, gerund door de overheid in handen vallen van Italiaanse terroristen. Vervolgens weet kabinetschef Sir Humphrey een bijzonder creatieve oplossing om deze gelekte informatie toe te dekken. Echt goed entertainment, en 100% fictie uiteraard, maar ergens toch wel relevant, vind ik.

Veel kijkplezier » YouTube
Voor een synopsis van het verhaal » en.wikipedia.org

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(23 replies, posted in Hypotheses)

Ik hou wel van een quizje, dus even raden:

  • Janssens de Varebeke

  • ?

  • Super Sativa Seed Club

  • Neville Schoenmaker

  • notaris Luc Rochtus

Maar wat is precies de link met de bendefeiten?

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(511 replies, posted in Onderzoeksdaden)

Dit verdient toch wel een parlementaire vraag, niet?