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Merovinger wrote:

Toch wel een zeer opmerkelijke uitspraak van Beijer. Hij liet Vanden Boeynants door Pierre Maréchal schaduwen. Waarom? Om VDB achteraf te kunnen chanteren? Of om te weten waar en met wie VDB zoal uithangt en om die info dan achteraf te gebruiken bij het creëren van valse sporen (zie de teruggevonden Golf in Lennik)?

Zou Beijer hier niet verwijzen naar surveillance opdrachten die hem werden toevertrouwd door VDB? Dus VDB als klant, niet als target.

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(12 replies, posted in 1990-1999)

Vermits het vandaag dag van de persvrijheid is, zullen we de omrekening van bf naar euro in bovenstaand artikel maar over het hoofd zien zeker? tongue

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(12 replies, posted in 1990-1999)

Vrijspraak voor 4 beschuldigden van roofmoord Kaster

Het hof van assisen in Henegouwen heeft de vier mensen vrijgesproken die beschuldigd werden van de roofmoord op André Maroy in mei 1991 in Kaster bij Anzegem. De juryleden baseerden zich voor die beslissing vooral op de tijdsbesteding van de beschuldigden en op de onbetrouwbaarheid van het DNA, dat op de plaats van de misdaad op colaflesjes werd aangetroffen. Ook hield de jury rekening met het verstrijken van de redelijke termijn.

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(120 replies, posted in Gladio - Staatsveiligheid)

Révélations fracassantes

Le Premier ministre et le ministre de la Justice de l'époque ont eu dès 2006 connaissance d'un éventuel lien entre le Bommeleeër et le réseau StayBehind. Alors que le SREL, sous la houlette de Marco Mille, en était arrivé à la conclusion que l'armée secrète de l'OTAN était responsable des attentats à la bombe et qu'il en avait informé le gouvernement, ces informations n'ont jamais été transmises à la justice.

Coup de théâtre, hier dans le procès dit du Bommeleeër après les révélations diffusées par nos confrères de RTL en fin de matinée. Selon ces derniers, le Service de renseignement de l'État, après investigations, en était arrivé à la conclusion que des agents du réseau Stay Behind étaient responsables de la série d'attentats à la bombe perpétrés sur le territoire luxembourgeois entre le 30 mai 1984 et le 25 mars 1986.

Qui plus est,d'après nos confrères, ces conclusions ont été présentées au Premier ministre, Jean-Claude Juncker, et au ministre de la Justice de l'époque, Luc Frieden, lors d'une réunion qui s'est tenue au ministère d'État entre décembre 2005 et janvier 2006. Parmi les membres du SREL participaient à cette réunion le directeur de l'époque, Marco Mille, Franck Schneider et André Kemmer. Jamais ces informations n'ont été transmises à la justice alors qu'une instruction judiciaire était pourtant en cours depuis 1998. Nos confrères révèlent également que cette réunion a été enregistrée à l'aide de la fameuse montre enregistreuse.

Me Gaston Vogel est immédiatement monté au créneau, hier, dès l'ouverture de l'audience. «Ils savent que Stay Behind est à l'origine des attentats. Et bien qu'au courant, ils n'ont pas jugé utile d'en informer la justice», s'est-il notamment offusqué en demandant que Luc Frieden soit désormais également cité comme témoin, ainsi que l'ancien président de la Cour des comptes Gerard Reuter (qui avait été démis de ses fonctions à la suite d'un scandale retentissant, malgré ses constantes dénégations).

Ce dernier a en effet fait des révélations fracassantes à nos confrères de RTL. En sa qualité de président de la Cour des comptes, l'homme avait des entrées au SREL où il avait notamment appris que la CIA serait responsable des attentats à la bombe. Gerard Reuter confirme la présence au Luxembourg de Licio Gelli, l'ancien grand maître maçonnique de la loge italienne P2, dans les années 1980 alors qu'il était recherché par la justice italienne après s'être évadé d'une prison suisse.

Enfin, l'ancien président de la Cour des comptes – qui connaît depuis des difficultés financières – révèle que le loyer de sa maison est actuellement pris en charge par la société d'intelligence économique Sandstone que dirige Franck Schneider.Et qu'auparavant, c'est le SREL qui s'en chargeait. Le résultat d'un accord qui aurait été conclu avec le Premier ministre. Frank Schneider aurait d'ailleurs bénéficié de quelques avantages en contrepartie.

Au vu de ces nouvelles informations, la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, a décidé hier de traiter le volet de l'enquête portant sur le réseau Stay Behind dès l'audience de mercredi et d'entendre les témoins relatifs à ce volet dans la foulée, Luc Frieden et Gerard Reuter compris. Elle a également ordonné que les procès-verbaux des auditions de témoins réalisées par la commission d'enquête parlementaire sur le SREL et l'enregistrement (s'il existe toujours) de la réunion secrète tenue en 2006 au ministère d'État soient versés au dossier Bommeleeër.

Bizarrement, c'est après l'audition, mardi, d'André Kemmer par la commission d'enquête parlementaire sur le SREL que le président de celle-ci avait annoncé qu'il envisageait de rouvrir le dossier Stay Behind. Le DP et déi gréng n'ont pas tardé à réagir, hier, exigeant que Jean-Claude Juncker et Luc Frieden viennent s'expliquer au plus vite à la Chambre des députés.

L'enquêteur principal, Carlo Klein, a passé en revue hier les déclarations en lien avec la piste Geiben faites lors de l'instruction par les enquêteurs et les membres de la brigade mobile de la gendarmerie. Des dépositions qui n'apportent finalement pas grand-chose au dossier si ce n'est certaines contradictions entre d'une part, celui qui était à l'époque délégué à la Sûreté, Armand Schockweiler, et d'autre part, les officiers qui l'avaient accompagné le 18 octobre 1985 à Bruxelles dans le cadre de la commission rogatoire émise dix jours auparavant.

Hasard du calendrier ou pas, le Premier ministre, Jean-Claude Juncker, et le ministre de la Défense, Jean-Marie Halsdorf, ont publié, hier après-midi, leur réponse à la question parlementaire adressée par le député Claude Meisch, le 21 février, relative au réseau Stay Behind. Les ministres confirment que «des unités non spécifiquement constituées de l'Armée luxembourgeoise ont participé» aux exercices militaires baptisés Oesling et qui comprenaient des infiltrations et la conduite d'opérations de sabotage.

Les ministres soulignent toutefois que ces «exercices d'infiltration et de sabotage (...) ont été effectués par des unités militaires normalement constituées de l'Armée qui n'avaient aucun lien avec le réseau Stay Behind». Et les membres du réseau Stay Behind, rattachés au SREL, n'auraient pas reçu de formation en matière de sabotage et de maniement d'explosifs.

Bron: Le Quotidien (Lux) | Olivier Landini | 19 april 2013

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Op de website van de CWB staat nog steeds:

Volgens de elementen uit het onderzoek gesteund op een expertenrapport van het NICC (Nationaal instituut voor Criminalistiek en Crimonologie) konden deze stukken niet langer dan een à twee maanden in het water gelegen hebben bij de ontdekking.

Hoe zit het nu eigenlijk? Toch niet onbelangrijk, gezien de weinige materiele bewijzen die voorhanden zijn.

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Onze eigenste Willy Claes geeft een woordje uitleg over de Bilderberg vergaderingen » www.radio1.be

Of praat hij zijn mond voorbij? Willy Claes: "Maar natuurlijk, de rapporteur probeert toch altijd wel een synthese te trekken en iedereen is verondersteld gebruik te maken van die conclusies in het milieu waar hij invloed heeft hé."

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Italian Supreme Court President Blames Bilderberg For Terrorist Attacks
Document says secretive group was involved in "strategy of tension"

Honorary President of the Supreme Court of Italy and former Senior Investigative Judge Ferdinando Imposimato, the man who prosecuted the case involving the assassination attempt against Pope John Paul II, has sensationally accused the Bilderberg Group of being behind terrorist attacks in Europe.

In an interview with the ArticoloTre website, Imposimato, who was also involved in the case involving the kidnapping and murder of former Italian Prime Minister Aldo Moro, said that he "found a document that left me appalled" implicating the Bilderberg Group in conspiring with the far right organization Ordine Nuovo to commit terror attacks. Speaking of unsolved murders in Italy and the document in his possession, Imposimato stated, "When it comes to slaughter it also speaks of the Bilderberg Group. I believe this document. I did some tests and I can say that behind the strategy of tension and the slaughters there is also the Bilderberg group, a sort of Big Brother is over, maneuvering, using terrorists and Masons.

"The 'strategy of tension' refers to a policy under the auspices of Operation Gladio, a NATO cold war 'stay behind' project that sought to create an expedient political climate in Europe by having its agents carry out terror attacks which were then blamed on both far left and far right political groups. Gladio was designed to demonize political opposition and 'force the public to turn to the state to ask for greater security,' according to the testimony of former Gladio agent Vincenzo Vinciguerra. In 2000, an Italian parliamentary investigation found that the 1980 Bologna train bombing, which killed 85 people, was carried out by 'men inside Italian state institutions and … men linked to the structures of United States intelligence." "You had to attack civilians, the people, women, children, innocent people, unknown people far removed from any political game," Vinciguerra explained in sworn testimony.

"The reason was quite simple. They were supposed to force these people, the Italian public, to turn to the state to ask for greater security. This is the political logic that lies behind all the massacres and the bombings which remain unpunished, because the state cannot convict itself or declare itself responsible for what happened," he added. Imposimato stated that he was given the document by a former Ordine Nuovo terrorist. Members of Ordine Nuovo (Italian for New Order) participated in numerous deadly terrorist attacks, including the 1969 Piazza Fontana bombing, the 1970 Rome-Messina train attack, the 1974 Piazza della Loggia bombing in Brescia, and the Italicus Express bombing in 1974.

The Bilderberg Group is an annual confab of around 120 of the most influential power brokers on the planet from the world of politics, business, banking, academia, media, and even royalty. The organization’s yearly meeting is held in a plush hotel resort in either Europe, Canada or America, but despite a plethora of heavy hitters in attendance, the mainstream media affords the event scant coverage, labeling it a mere talking shop despite former NATO Secretary-General and Bilderberg member Willy Claes’ 2010 admission that Bilderberg attendees are mandated to implement policy decisions that are formulated during the meeting.

There are innumerable other examples of how Bilderberg has influenced major global events ahead of time, picking Presidents and Prime Ministers on a regular basis with total contempt for the democratic process. In 2009, Bilderberg chairman Étienne Davignon even bragged about how the Euro single currency was a brainchild of the Bilderberg Group. Imposimato’s broadside against Bilderberg follows in the footsteps of his compatriot Alfonso Luigi Marra, a prominent lawyer who recently requested that the Public Prosecutor of Rome investigate the Bilderberg Group for criminal activity, questioning whether the elitist organization’s 2011 meeting in Switzerland led to the selection of Mario Monti as Prime Minister of Italy.

Labeling the group a "unique, illegal brotherhood" of elitists who consider themselves to be "above the law", Marra pointed the finger at Bilderberg for engineering wars, economic collapses, and arming dictators, activities which, "constitute an obvious, blatant violation, to say the least, of the articles of the Criminal Code." The precise date and location of the 2013 Bilderberg meeting is yet to be confirmed, although speculation has centered around the confab taking place somewhere near London in early June.

Bron: Paul Joseph Watson | Infowars.com |11 april 2013

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Het Nieuwsblad: "Deze zoekactie kadert niet in één specifiek dossier maar heeft tot doel om via een systematische opsporing alle voertuig-wrakken in de actiezone te detecteren en te bergen." Dus geen gerichte actie.

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Vertaling van het artikel van 10/11 november 1992:

"Bende van Nijvel": een solide spoor?

Onderzoeksrechter Hennuy is geïnteresseerd in een Franse ijzervreter die in Nantes opgesloten zit voor meerdere hold-ups.

De onderzoeksrechter van Charleroi, belast met het dossier van de bende van Nijvel, waarvan de eerste feiten dateren van iets meer dan 10 jaar geleden (op 30 september 1982 in wapenhandel Dekaise in Waver), heeft dinsdag bevestigd dat de Belgische juridische autoriteiten en meer bepaald de onderzoekscel van Jumet interesse hebben in Jacques Laffaille, 52 jaar, een Franse ijzervreter opgesloten in Nantes voor een reeks hold-ups; deze informatie werd vrijgegeven door het dagblad Le Soir in haar editie van maandag.

Pierre Hennuy rekent erop binnenkort een rogatoire commissie te sturen ten adresse van zijn collega Pierre Pétriat. De onderzoeksrechter betreurt dat dit project in de openbaarheid is gekomen. "Ik betreur bitter de openbaring van deze informatie, waardoor schade wordt berokkend aan het onderzoek", legde hij uit en ging verder met zich af te vragen "of het sturen van een rogatoire commissie naar Frankrijk nu nog wel de moeite zou lonen". Zou een 'simpele' publicatie van het verdacht zijn van een persoon voldoende zijn om de onderzoekers zo te laten opschrikken? Of is het een teken aan de wand dat de aanwijzingen in de richting van Jacques Lafaille slechts zeer licht wegen?

Groot en blond. Waarom zijn de onderzoekers van Jumet geïnteresseerd in dit personage ? De man is blond en fors gebouwd. Dat is het profiel van de 'reus' zoals beschreven door sommige getuigen van de overvallen van 1983 en 1985. Jacques Laffaille heeft op zijn minst een zeer bewogen verleden, van gewapende aanslagen en krachttoeren met politieke doeleinden. Hij was achtereenvolgens parachutist in Algerije, huurling in Katanga, filmfigurant, kameraad van de meest bekende der huurlingen, Bob Denard, tijdens de poging tot staatsgreep in Benin in 1977, agent van de DGSE, de Franse geheime diensten en ook nog het overvaller van transporten.Hij werd aangehouden op 11 april 1990 in het zuiden van Frankrijk en opgesloten in Nantes voor een reeks hold-ups.

Maar het meest interessante, zonder twijfel, in het kader van het onderzoek naar de bende van Nijvel, berust in zijn veronderstelde aanwezigheid in België in 1983 en in 1985. Laffaille werd meermaals gezien aan het stuur van een VW Golf of in een schietstand. Bovendien komt de tussenpauze van de aan de bende toegeschreven misdaden, tussen 1 december 1983 bij een juwelier in Anderlues en 27 september 1985 in de Delhaizes van Eigenbrakel en Overijse, min of meer overeen - hij werd aangehouden november 1983 in Parijs - met de periode dat de Franse ijzervreter achter de tralies zat.

Interessante aanwijzingen, die op dit moment echter van Laffaille lang nog niet de leider maken van de commando operaties die in en om Brabant 28 doden teweeg brachten.

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(1,157 replies, posted in Onderzoeksdaden)

Misschien moet we eens een lijstje proberen op te maken van de mensen die in het dossier worden genoemd en die (kort) na het intussen echt gekende moment van het dumpen van de zakken het land heeft verlaten?