Een wedersamenstelling van de overval (volgens PDS gebaseerd op wettelijke stukken). Toch wel interessant om te lezen. Ik heb het hier gepost omdat de tekst waaruit het komt wat onoverzichtelijk is.
Bron » lirenligne.net
L’ensemble de cette reconstitution a été mené le vingt-six avril 1987, sous la direction du Procureur du Roi de Charleroi, M. Stévaux Gabriel… et repris sur procès verbaux.
Les criminels découpent la porte métallique arrière du magasin en forme de carré.
La Mercedes de Fourez se dirige vers les pompes à essence…
Le véhicule s’approche…et s’immobilise à cet endroit.
Monsieur Fourez descend de la voiture et se dirige vers la pompe à essence… il introduit sa carte (il a probablement mis ses lunettes).
Après avoir frappé son code, il remet sa carte dans son portefeuille… remplit son réservoir de 47,99 litres d’essence, lorsqu’il raccroche le pistolet à la pompe, un des criminels ouvre le feu dans sa direction avec une arme 7,65mm (ce dernier est suivi à une certaine distance par un de ces complices).
M.Fourez retourne au véhicule tandis que le criminel s’avance vers lui et ouvre le feu dans sa direction, son arme s’enraye, l’individu éjecte une première balle, puis une seconde…et s’approchant à l’avant de la Mercedes dans laquelle Fourez va rentrer, l’individu ouvre le feu et l’atteint à la racine du nez.
M.Fourez tombe, ses lunettes sont brisées. Madame Dewit sort du véhicule pour s’enfuir tandis que le tueur progresse vers la portière du conducteur. De cet endroit le tueur ouvre le feu en direction de Mme Dewit…qui tente de s’enfuir. Une douille de 7.65mm sera retrouvée à l’intérieur du véhicule et un point d’impact est localisé au coin du mur du magasin Colruyt.
Au même moment arrive le complice, porteur d’un pistolet 22 long rifle… et qui s’empare de Mme Dewit, (laquelle perd ses barrettes à cheveux…) tandis que le premier tueur de M.Fourez, se met au volant de la Mercedes. Quant au complice, il entraîne Mme Dewit, vers l’arrière du magasin où il ouvrira le feu par deux fois, l’une dans la joue droite…et l’autre au coin de l’œil droit. Le même tueur se dirige alors vers le corps de monsieur Fourez…tandis que son complice le tueur de Fourez, déplace la Mercedes pour aller la garer au-delà de la porte que l’on découpe.
Pendant ce temps-là, le tueur de Mme Dewit tire le corps de Monsieur Fourez par les pieds vers l’arrière du magasin. Ensuite le tueur de Fourez rejoint son complice, et à deux, ils retirent le corps de M.Fourez dans la direction de la clôture à l’extrémité du parc de stationnement, puis de la clôture, le tueur de Mme Dewit, tire trois coups de 22 long rifle, dont deux atteignent M.Fourez à la joue droite.
Les deux tueurs vont alors tenter de basculer le corps de M. Fourez au-dessus de la clôture, mais sans succès, puis traînent le corps vers le mur arrière du bâtiment…où ils l’abandonnent. Ensuite ils se dirigent vers Mme Dewit, qui est étendue à quelques mètres. Le tueur de Mme Dewit constatant qu’elle vit toujours, appuie sur la gâchette de son arme 22 long rifle, un premier coup de feu, puis un deuxième et un troisième coup au sommet du crâne.
Les deux tueurs traînent le corps de Mme Dewit par les pieds pour lui faire exécuter un demi-tour… et la transporter à proximité de celui de M. Fourez : Ils vont ensuite à l’avant du magasin Colruyt, pour chercher cinq caddies, à l’aide desquels ils camoufleront les corps, ensuite ils se dirigeront vers les véhicules garés de part et d’autre de la porte. Il s’agit de la voiture Saab 900 et la Mercedes 190.
Dans d’autres hypothèses judiciaires aussi fantaisiste que ridicule, j’ai pu lire sur procès verbaux: Que Jacques Fourez est arrivé vers 1h10 au Colruyt de Nivelles, et après être descendu de son véhicule, et avoir rempli son réservoir d’essence, il se serait alors éloigné de quelques pas et aurait surpris des personnes suspectes occupées à découper avec un chalumeau la porte en métal du magasin Colruyt. Aussitôt les malfaiteurs n’ont eux qu’une seule idée, tués ces témoins vers 1h20…
A présent j’en arrive aux déclarations du gendarme Lacroix dans le procès verbal 20434 où ce dernier explique qu’il sera blessé légèrement par les tueurs du B.W, à 1h23.
Le détecteur volumétrique relève une modification du volume à l’intérieur du magasin (probablement déclenché lorsque le panneau de la porte a été découpé et abaissé sur le sol). A 1h33 le district de Nivelles est averti par téléphone via la société de sécurité Colruyt, qu’une alarme s’est déclenchée dans la succursale de Nivelles.
Déclaration écrite du maréchal des logis Jean Marie Lacroix matricule 45-15399-49, en date du 20/09/83 à 14 heures. Annexe B au N°5/3-M du 10 janvier 84. Le 17 septembre vers 01h30, nous étions en service de permanence avec le MDL Morue, nous avons été appelés pour une alarme au Colruyt à Nivelles.
Nous nous sommes dépêchés d’arriver sur places car une alerte à cet endroit est peu courante et je me rappelle que le maréchal des logis Morue m’a fait la réflexion en disant que nous étions vite sur place. En arrivant nous n’avons rien vu, nous avons alors contourné Le magasin avec les feux de route en passant par la station d’essence.
Le long du mur du magasin, à l’arrière, nous avons aperçu deux véhicules rangés, l’une avant la porte et l’autre après, cette dernière étant une Mercedes blanche avec le coffre arrière ouvert. Nous avons aussi, à ce moment, remarqué la porte du magasin qui était cisaillée en dessous.
Nous sommes sortis de chaque coté du véhicule arme à la main. Le Maréchal des Logis, Morue avait la mitraillette PM Uzi. De fait, sitôt arrivés sur place nous nous sommes fait canarder par les voleurs, des coups de feu éclates, partant de la porte qui avait été cisaillée.
En descendant, j’ai remarqué un individu devant nous, les autres étaient cachés dans la porte fracturée. Comme Ils nous tiraient dessus, j’ai ouvert le feu dans la direction de l’homme se trouvant devant moi, tandis que le Maréchal des Logis Morue faisait usage de la Mitraillette Uzi et tirait vers la porte en descendant de son côté. J’ai alors fait mouvement à pied, vers l’arrière du véhicule pour le contourner et rejoindre Morue.
J’ai reculé en tirant. Lorsque j’ai rejoint Morue, il s’est affalé sur le dos devant moi. Je me suis alors laissé tomber de travers dans la camionnette, le buste penché en avant entre le siège convoyeur et le tableau de bord, les pieds au sol. Les autres individus tiraient encore pendant que je me laissais tomber.
L’homme que j’avais vu devant moi et qui m’avait suivi en faisant le tour du véhicule est arrivé derrière moi aussi. A ce moment, il me semble que les autres complices sont sortis de la porte pour le rejoindre.
Un des hommes, probablement un de ceux qui sortaient de la porte a crié en arrivant "oh! Le salaud, il avait un Uzi…" Un coup de feu a encore été tiré, sur Morue, j’en suis sûr. Un autre coup a encore été tiré dans ma direction, je pense que c’est avec ma propre arme, car elle m’a été arrachée des mains justes avant.
Je n’ai pas été touché par ce coup dont la trajectoire a été parallèle à mon dos, mais on en voit la trace dans le dos de ma veste.
En partant, j’ai entendu quelques mots du genre ’’maintenant on se tire’’ ou ’’maintenant ont se barre’’… Tous les auteurs parlaient-en Français, mais avec un accent qui n’était pas de la région, un genre d’accent flamand. Je n’ai reconnu aucun genre d’armes qu’ils avaient. En fin de compte, j’ai été légèrement blessé au doigt.
L’homme que j’avais aperçu, semblait avoir fait le guet sur le côté du magasin et semblait rejoindre ses complices qui avaient été de toute évidence prévenue de notre arrivée, puisqu’ils nous tiraient dessus alors que nous étions toujours dans le véhicule en arrivant.
Je me rappelle encore qu’en arrivant, lorsque nous avons parquet notre véhicule à proximité de la porte, que le MDL Morue, en voyant la porte a dit : ’’Ici c’est un flagrant délit, ils sont encore là’’. (Dont acte signature).
(Informations que j’ai récolté dans plusieurs procès verbaux judiciaires): A 1h 44, plusieurs coups de feu éclatent au Colruyt de Nivelles. Lorsque le gendarme Morue descend précipitamment du véhicule il est aussitôt blessé par un projectile qui l’atteint à la cheville. Un des tueurs ouvre le feu, les deux mains agrippées sur une arme de poing, bras tendu, visant le côté droit la camionnette.
Le gendarme Lacroix est notamment pris pour cible par un autre tueur armé d’un Riot-Gun, vers qui le gendarme ouvre le feu. Lacroix recule à l’arrière du véhicule pour se protéger mais sera touché par une balle à la main. Il sera suivi par le tueur au Riot-Gun, a ce moment précis, Lacroix rejoindra dans son véhicule de fonction pour appeler du renfort et tentera désespérément d’éviter les projectiles, en ce couchant à même le sol.
Selon l’expert Dery, trois tirs d’armes sont dirigés dans la direction des gendarmes ou se trouvent leur véhicule. Il est important de constater que lorsque la camionnette Ford de gendarmerie est arrivée au Colruyt, elle a été accueillie par au minimum quatre tireurs placés en oblique et debout!
Une arme 9 mm et un 357 magnums seront utilisés. A l’aide d’un fusil Riot Gun, un coup claque et un projectile 12 mm (ballettes) atteint le niveau du phare gauche du véhicule. Un autre projectile 12 mm (ballettes) atteint l’avant-centre gauche. Un autre projectile de 12 mm (ballettes) atteint le haut de la portière gauche au moment même le gendarme Lacroix descend du véhicule. Trois tirs consécutifs seront dirigés vers le gendarme Morue, déjà blessé par le Colt 45. Un tir manque sa cible un autre projectile atteint Morue à la jambe. Deux projectiles de fusil de chasse (plombs) atteignent Morue à la figure et aux bras.
Ensuite un des tueurs fait le tour du véhicule et ouvre le feu sur le gendarme en question qui sera atteint dans le dos (balettes dans l’épaule et le coup) tandis que le gendarme Lacroix se couche dans le véhicule, et signale par radio que son collègue est tué. A ce moment-là, il fera semblant d’être mort.
Un des tueurs armer d’un colt 45 mm contourne le véhicule Ford de gendarmerie, s’approche de Morue et l’abat à bout portant, un projectile se logera dans sa figure. Pendant ce temps, un des agresseurs vient par la porte conducteur pour prendre l’arme 7,65 du gendarme Lacroix, ainsi que les clés du véhicule. Un autre agresseur extrait Lacroix du véhicule, retourne son ceinturon pour avoir accès à la boucle puis enlève la gaine et un autre tueur s’emparent de la mitraillette 9mm Uzi, pour la placer sur le siège arrière de la Saab Turbo. Les agresseurs s’enfuient à bord de la Mercedes 190 et de la Saab 900 Turbo, ainsi que vraisemblablement dans un troisième véhicule.
Le Guet-apens. (D’après des informations que j’ai récolté uniquement dans des procès verbaux): L’alerte sera donnée et les patrouilles de l’agglomération de Nivelles sont prévenues du drame qui vient de ce déroulé.
Au même moment, à plusieurs kilomètres du Colruyt, une patrouille de la police de Braine l’Alleud munie d’un gyrophare, composée de trois hommes, repère la Mercedes 190 et la Saab 900 Turbo, sur la Chaussée de Nivelles. Directement une poursuite s’engage, mais les tueurs vont prendre les devants et se couvriront mutuellement en ouvrant le feu chacun à leur tour sur les forces de l’ordre. Comme dans lors d’un entraînement militaire, le chauffeur de la Saab arrêtera brusquement mais de façon très technique, son véhicule à droite de la chaussée sur une aire de dégagement automobile.
Quelques dizaines de mètres plus loin sur la gauche, les complices se trouvant dans la Mercedes 190, arrêteront eux aussi leur véhicule de la même façon, pour qu’un des tueurs descende du véhicule et puisse prendre appui sur le toit de la carrosserie et ouvre aussitôt le feu en direction de la voiture de police.
Dans un synchronisme parfait, les tueurs de la Saab et de la Mercedes ; Ouvrent le feu trois fois et 7 fois de suite dans la direction des policiers qui dépassent les véhicules des tueurs à vive allure. Le policier Benoît Ruys qui est le chauffeur, sera légèrement blessé à l’épaule avec du calibre 12 mm, ( plomb 0). Ses deux autres collègues Bernier et Lemal ne seront forte heureusement pas blessés, si ce n’est dans leurs amours propres.
Après cette pluie de projectiles en tir croisé, le chauffeur de la Mercedes se précipitera dans la Saab où il prendra place à la droite du chauffeur. Au même moment le véhicule démarre en trombe, et lâche définitivement les policiers qui sont encore sous le choc, recroquevillés dans leur Golf de service. Les tueurs sortent rapidement des axes routiers assez fréquentés, et s’engloutissent dans ce qui pourrait ressembler à un chemin de Terre en pleine campagne. Pour des raisons qui me sont encore obscures, deux des tueurs ouvrent le feu deux fois dans le coffre de la Saab Turbo à l’aide d’un 357 magnum, un autre tir de Riot Gun atteindra l’aille gauche.
C’est calmement qu’ils regagneront la rue piétonnière à deux pas de la rue Wauters ou, d’après les enquêteurs les tueurs seraient montés dans un véhicule qui les attendaient au carrefour de Mont-Saint-Pont et de la Chaussée d’Alsemberg. L’ensemble des cigarettes… et des bouteilles d’alcool volées… au Colruyt de Nivelles on bien évidemment été abandonné dans la Mercedes et la Saab.
Les enquêteurs avancent l’hypothèse, que les tueurs ont voulu changer la roue de la Saab Turbo 900, et devant leur échec, ils ont jeté le pneu de secours par-dessus un grillage. Les policiers qui ont été pris sous le feu nourri en tir croisé au carrefour du Diable Amoureux, admettent quant a eux, que le guet-apens, était digne de professionnels, possédant un sang froid à toute épreuve.
Ceci termine les conclusions officielles des services d’enquêtes en relation avec la reconstitution de la tuerie au Colruyt de Nivelles. Concernant l’ensemble des hypothèses citées précédemment par les services d’enquêtes concernées, je les trouvent assez maigre et dépourvu de logique et pour le démontrer, je vais progressivement présentés mes hypothèses qui à la différence des systèmes judiciaires sont basée uniquement sur des éléments matériels, que j’avais déjà développés par écrit en 1986 et transmis en 1987–88-89-90 etc., à plusieurs personnalités de la Magistrature, Politiques, à la Gendarmerie, ainsi que des Avocats et Journalistes.
Avant de développé la moindre hypothèse par mes présent écrit, j’estime très important de cité, l’Etat civil de quatre victimes tué et blessé au Colruyt de Nivelles:
(Procès verbal):
Fourez Jacques Arthur, né à Waasten le 29 avril 1934, domicilié à KNOKKE-Heist, Zeedijk Het Zoute, n°842. (Exécuté!)
Dewit Elise, Marie, Antoinette, divorcée, née à Vilvorde, le 26/11/1933, domicilié à Uccle, Avenue du Mercure N° 13. (Exécuté!)
Morue Marcel, Louis, Ghislain, né à Florennes, le 24/09/1952, domicilié à Charleroi, Fg de Charleroi N° 74, MDL de gendarmerie à Nivelles, matricule N° 45-11424-51. (Assassiné en service commandé!)
Lacroix Jean–Marie, Maurice, André, Albert Ghislain, né Marcinelle, le 20 septembre 1953, domicilié à Charleroi, Jumet, MDL de gendarmerie à Nivelles, matricule N° 45-15339-49. (Blessé).
Pour que vous, l’opinion publique, puissiez imaginer l’ambiance qui règne sur l’aire de stationnement d’un Colruyt, se trouvant à la limite de la rase campagne et ce, après minuit où, une voiture s’arrête environ toutes les heures pour se ravitailler en carburant. Je vous joins un procès verbal détaillant cette atmosphère: D’après le dossier 298 procès verbal N° 10.21.2864/83 brigades de Nivelles, dirigé par le juge Guy Wezel :
Situation des lieux
Il s’agit d’un magasin d’alimentation dit de grande surface d’un seul étage (rez-de-chaussée), deux petites pièces sont en étages, soit un bureau et un réfectoire. Il est en retrait de la chaussée, entouré d’un parc de stationnement. On peut contourner tout le bâtiment.
Vu de face sur la gauche, nous trouvons une station d’essence Gulf, composée de trois pompes automatiques, une boite genre central faisant partie de l’établissement.
Les pompes sont placées parallèlement au côté le plus petit du bâtiment.
Le magasin proprement dit est bâti sur 55 mètres x 21 mètres.
La clientèle peut entrer par l’avant tandis que l’arrière est percé de trois issues de secours.
Sur le côté droit existe une porte servant à l’entrée du personnel et une porte de garage fermée par un volet mécanique pour le déchargement des marchandises.
Ce parc de stationnement est entouré à l’arrière et sur le côté droit par un grillage de 1m 30 de hauteur, l’arrière est suivi d’un terrain en pente vers une route, le terrain est broussailleux, tandis que le côté droit est suivi d'un terrain planté d’arbustes.
Sur le côté gauche, se trouve un terrain vague surélevé par rapport au parc de stationnement d’environ 1 mètre.
Le terrain est jonché de quelques détritus ménagers et principalement de matériaux de voirie usagés…
Le sol de l’aire de stationnement est constitué de béton. Comme éclairage, seuls quelques tubes néon avec un panneau publicitaire. Les pompes sont éclairées.
(Fin du P.V.)
Cette nuit là, il n’y avait rien - pas le moindre vent, pas de bruit, excepté de la bruine et quelques larmes de pluies très fines couverte par une nuit pleine reposant sur un calme absolu, sauf celui de la sortie d’autoroute donnant sur la nationale avoisinant le Colruyt où passe rarement un véhicule que l’on peut voir et entendre arriver de très loin!
Ce procès verbal, vient à démontrer clairement qu’il est impossible que les soi-disant prédateurs (selon la formule du Procureur Jean Deprête) n’aient pas entendu le moteur du véhicule ou vu arriver au Colruyt, les phares de la Mercedes 190 de Monsieur Jacques Fourrez.
Les Mercedes 190 disposent de phares extrêmement puissants, qui peuvent être vus sans problème à des centaines de mètres.
Par conséquent il me paraît invraisemblable, que des prédateurs… continuent à découper au chalumeau la porte arrière du Colruyt, alors que cela, à été démontré matériellement qu’il était impossible qu’ils ne puissent entendre ou voir un quelconque véhicule se diriger vers les pompes à essence du Colruyt.