Jongens, kijk eens goed naar de datum! Op dat moment was VDB opgesloten in Le Touquet. Daar bleef slechts een bewaker (Basri Bajrami denk ik) en de anderen deden efkens een uitstapke naar Groot-Bijgaarden.
Ergens gekopieerd:
Il commença le 14 janvier 1989 , à 18 h 25. Ancien Premier ministre, chef du groupe PSC au conseil communal de Bruxelles et "patron" de la Foire internationale du Heysel, ex- et futur candidat bourgmestre de la capitale, VDB rentrait chez lui, avenue Roosevelt. Plusieurs hommes l'attendaient. Quand il eut rangé sa voiture au garage, ils l'assaillirent. Il y eut une lutte, violente, dans laquelle il perdit une chaussure, sa pipe et son sonotone... les attributs les plus célèbres de cette star du folklore politique national. Un scénario qu'aucun auteur de BD n'aurait jamais osé.
En ook:
Dans la villa du Touquet où il était enchaîné, VDB négociait ferme avec les truands. Persuadés que l'homme politique «pesait» deux milliards, ils espéraient 400 ou 600 millions de rançon. L'otage les convainquit de l'absurdité de cette somme... et emporta "le marché" à 63 millions. Mieux encore: c'est VDB qui imagina la suite des opérations et proposa le nom de son vieil ami Jean Natan comme intermédiaire pour le paiement de la rançon. Les ravisseurs lui écrivirent et lui téléphonèrent sous le pseudonyme de "Monsieur Léon". Le 10 février 89 , au terme d'un «rodéo» - comme disent les policiers - dans les rues de Genève, "Monsieur Léon" prit finalement la malette pleine d'argent des mains de l'ami de VDB et se fondit dans la foule. Trois jours plus tard VDB était rendu à la liberté à Tournai.
Je moet er wel bij denken dat Martens op een bepaald ogenblik na de stemming in het parlement over het wegnemen van de onschendbaarheid van VDB, geweigerd heeft de uitgestoken hand van VDB te schudden. Ik zie deze overval niet als een zoveelste co-incidentie, eerder als een waarschuwing. Net zoals "het toeval" dat Mendez overhoop is geschoten net de dag dat het eigenlijke fraudeproces VDB begon op 7 januari 1986.