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Topic: Getuigenis Jacques Devriendt

Dokter Jacques Devriendt was aanwezig tijdens de overval op het Delhaize-warenhuis in Eigenbrakel en beleefde de gruwelijke feiten vanop de eerste rij.

“Le premier qui bouge, je le coupe en deux”: il y a 38 ans, le docteur Devriendt a croisé la route des Tueurs du Brabant

Il y a 38 ans jour pour jour, il se trouvait au Delhaize de Braine-l’Alleud, à 3 mètres des tueurs du Brabant. Un témoin clé parle.

Au tout début, il est à six mètres de moi et tient un otage. Il me tourne le dos, de sorte qu’il ne m’a pas vu. Il est cagoulé et porte un riot gun. Il se retourne et là, constate ma présence. Il braque le fusil et me met en joue. Il y a un instant où rien ne se passe. Je lui crie : ‘Ne tirez pas’. Mais il tire, et puis s’en va en poussant l’otage devant lui". (...)

Bron » www.dhnet.be

Iemand die het hele artikel heeft?

In 2009 verscheen er reeds een interview met dokter Devriendt op de website van onze Franstalige vrienden. De vertaling van dat interview kan je hier lezen » Feiten

"Le monde est dangereux à vivre! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire." Volg ons via » Facebook | twitter | YouTube

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Re: Getuigenis Jacques Devriendt

Le docteur Jasques Deviendt s'est constitué partie civile il y a six mois en demandant des devoirs complémentaires . Aucune suite véritable n'a été donnée a cette requête légale par la cellule.

No comment.

Re: Getuigenis Jacques Devriendt

Dr. Devriendt gelooft dat de moordenaar die hem van zeer dichtbij neerschoot ongeschikt was. Zelf was hij niet briljant. Hij had deze onbekwaam dader, die geen gevaar achter zijn rug bespeurde, kunnen doden en zijn wapen kunnen grijpen om de andere moordenaars te doden. Vermoedelijk deed hij geen legerdienst. Wie kan beter doden dan een dokter? De politie was niet geïnteresseerd in zijn verhaal. Destijds was het normaal.