Re: Jean Deprêtre
dim, aangezien je de foto's van WP hier niet kan plaatsen, kan je dan misschien zeggen of ze jou aan één van de robotfoto's op deze website doen denken?
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Bende van Nijvel → Magistraten → Jean Deprêtre
dim, aangezien je de foto's van WP hier niet kan plaatsen, kan je dan misschien zeggen of ze jou aan één van de robotfoto's op deze website doen denken?
Stuur me een mail-bericht, patrick. Ik zie inderdaad gelijkenis met sommige foto's maar dat is ver van een sluitend bewijs.
Jean Deprêtre, procureur te Nijvel en supervisor van 1983 tot 1987 voor de Bendefeiten, was een magistraat van PSC-signatuur. Zijn denigrerende houding t.o.v. de "Borains" hoeft niet te verwonderen. Om dit beter te verstaan, moet je jezelf terugplaatsen in de tijd. Het einde van de jaren 60, beginjaren 70 beginnen zich de eerste teken van het verval van de steenkool- en staalindustrie te tonen, met hoge werkloosheid er bovenop.
Het ambtsgebied van Deprêtre kende en toonde ook dit verval niet. Bovendien was of waren de adelijke families (haute finance, diverse industriëlen, ...) hier ook goed vertegenwoordigd en deze families dwongen nog ontzag af, ondanks dat de ook voor hen "veranderde tijden" meespeelden. Hieruit was het dus eenvoudig te verklaren dat het "plebs" zich bezighield met overvallen en het "goede volk" gevrijwaard moest worden van deze onrustzaaiers.
Zijn naïeve (ik geef toe, dit is niet de juiste omschrijving, doch een magistraat onwaardig) houding tegenover deze misdaden en het doorschuiven van de verantwoordelijkheid hieromtrent werden hem hoogstwaarschijnlijk ingefluisterd door het politieke milieu waarin hij vertoefde. Tactisch gezien noemt men dit de aandacht afleiden of het onderzoek misleiden. Ik vind het dan ook bijzonder frappant dat hij vlak voor zijn overlijden in 2012 nog enkele namen vernoemd heeft die bij de "Bende" zouden behoord hebben. Er ook nog bij vertellen dat toen (en is dit ondertussen veranderd?) de benoeming van magistraten altijd politiek getint waren, en wiens brood men eet, diens woord men spreekt...
Jean Depretre, in opdracht van zijn PSC broodheren, belast met het dwarsbomen van zowel de onderzoeken naar de X-dossiers als van de Bende van Nijvel? Zou best kunnen als je bekijkt hoe dikwijls mandatarissen van deze politieke partij betrokken zijn bij het bemoeilijken van de lopende onderzoeken. Noemen zich nu dus CdH.
LEO, het gaat hier niet enkel over deze PSC-broodheren. Ga even terug in de tijd, en je zal dan merken dat toen de "adel" zulk een macht had, zowel financieel als zakelijk, dat je altijd met deze heren rekening moest houden. Je had toen van een triumviraat kunnen spreken: het koningshuis, de adel en de politieke gezagsdragers bepaalden toen onze levenswijze, waar onderdanigheid en gehoorzaamheid een must was. Tijden zijn godzijdank (sic) veranderd.
Tijden zijn godzijdank (sic) veranderd.
België had inderdaad grote problemen met corruptie, politieke benoemingen en vriendjespolitiek. De rest is pure speculatie. Ik zou zeggen ga nog eens 100 jaar terug in de tijd en de Adel had nog meer macht. En ga dan nog eens 200 jaar terug en ze waren volmachtig. U blinkt uit in het trappen van open deuren en kwaadsprekerij. Probeer liever iets concreet aan de Bende te koppelen. Dat snijdt veel meer hout.
Deprêtre is duidelijk een politieke benoeming. Een gek die bereid was alles te doen om zijn post. Het soort dat zich ook echt "superieur" voelt t.o.v. het gewone gepeupel. Mensen die vinden dat het gewone gepeupel onder controle moet gehouden worden.
Misschien ook gechanteerd via zijn verslaafde dochter. Eigenlijk zouden zulke mensen als mede-dader beschouwd dienen te worden.
Hieronder het bewuste interview dat Deprêtre vlak voor zijn dood heeft gegeven:
Tueurs du Brabant: Jean Deprêtre donne des noms
Trente ans après, l’ancien procureur de Nivelles défend toujours la thèse des prédateurs. Il vient de transmettre une lettre au parquet de Charleroi contenant les identités de cinq suspects.
"Il ne se passe pas une journée sans que je ne pense à cette affaire", nous dit-il d’emblée, entre deux bouffées de Kent. Trente ans précisément après le tout premier fait attribué à la bande des tueurs du Brabant (un vol dans une armurerie de Dinant le 13 mars 1982), le procureur du Roi émérite de Nivelles, Jean Deprêtre, reste hanté par cette énigme judiciaire. Dans sa villa de Lillois, au cœur du Brabant wallon, il a accordé au Soir magazine un entretien exclusif, lors duquel il martèle ses convictions: cette série de vols, assassinats et braquages sanglants commis entre 1982 et 1985 sont l’œuvre de braqueurs, de 'prédateurs' pour reprendre son mot exact, sans le moindre mobile politique. Il ne croit pas un instant à la piste de l’extrême-droite, pourtant encore privilégiée par les enquêteurs aujourd’hui.
L’enquête s’est perdue en plein brouillard
À 76 ans, retraité depuis 2002, Jean Deprêtre veut toujours connaître la vérité, enrageant que l’on ne cherche pas dans la bonne direction. C’est l’affaire d’une vie, de sa vie. Il nous révèle avoir adressé récemment une longue lettre au procureur du Roi de Charleroi, Christian De Valkeneer (désormais nommé au poste de procureur général de Liège). À l’attention des enquêteurs, il y détaille le scénario qui lui apparaît le plus crédible, le plus évident, à savoir les agissements criminels d’une bande de malfrats originaires de Braine-l’Alleud. Et il cite même dans ce document les identités de cinq suspects (plus de détails par ailleurs).
En tant que procureur du Roi de Nivelles, Jean Deprêtre a supervisé l’enquête sur les tueries de 1983 à 1987. La justice nivelloise a ensuite été déchargée de l’affaire, reprise à Charleroi. Une décision qui reste toujours en travers de la gorge du procureur Deprêtre: "Si nous avions pu continuer à travailler, nous aurions sans doute trouvé les auteurs. Au lieu de cela, l’enquête s’est perdue en plein brouillard." Voici la suite de cet entretien-vérité.
Tout converge vers Braine-l’Alleud
Que pensez-vous des derniers développements de l’enquête, et surtout des perquisitions menées en février dans la mouvance d’extrême-droite? Selon moi, l’extrême-droite n’a rien à voir dans ces faits. Et quand j’ai entendu qu’on avait perquisitionné chez Albert Raes, l’ancien patron de la Sûreté de l’État, j’ai trouvé cela du plus haut ridicule! Pour moi, les tueurs n’ont aucun mobile politique, ce sont des prédateurs. C’est ma conviction depuis 30 ans! Je vais plus loin: les auteurs sont sans doute des gens de Braine-l’Alleud. Prenez une carte de Belgique et pointez tous les lieux des faits et les déplacements des auteurs. Tout converge vers Braine-l’Alleud. Je suis aussi persuadé que le chauffeur de la bande, pilote très rapide, connaissait parfaitement la région et ses petites routes. À l’époque, il n’y avait pas de GPS!
Tout de même, les braquages ont fait 28 morts! Difficile de croire à de vulgaires voleurs tout de même? Pourquoi écartez-vous la piste de l’extrême-droite? Les enquêteurs ont déjà fouillé toutes ces pistes et n’ont absolument rien trouvé. Les tueurs n’ont rien à voir avec l’extrême-droite, ou avec Bouhouche et Beijer, avec la CIA, les syndicats américains en guerre contre Delhaize ou l’affaire des ballets roses où même mon propre nom a été cité! Tout cela, c’est du vent, zéro! Pour moi, les tueurs sont des prédateurs, des gens très violents capables de tuer pour emporter la caisse d’un supermarché. La plupart des attaques ont été commises en fin de semaine, dans des grandes surfaces vers 19-20 heures, au moment où il y a le plus d’argent dans les caisses! (Le montant total du butin des braquages est effectivement de plus de 6 millions de FB de l’époque, ndlr) Ils volent aussi de l’alcool, sans doute pour faire la fête ensuite. Vous croyez que des terroristes ou je ne sais qui d’autre agiraient de la sorte?
Delhaize propose toujours une rançon de 250.000 euros à qui fournira des informations permettant d’identifier les auteurs. Dans l’hypothèse de petits braqueurs, comment expliquez-vous qu’ils n’aient pas été dénoncés? Ces auteurs sont unis et se tiennent. Avec 28 morts sur le dos, ils vont tous se taire!
Une trace ADN a été retrouvée sur une pièce à conviction repêchée à Ronquières. Croyez-vous que les nouvelles techniques d’enquête vont permettre d’élucider le dossier? J’y crois, même s’il n’est pas évident que les auteurs soient déjà fichés dans des banques ADN. À titre personnel, je regrette de ne pas avoir pu bénéficier de telles techniques à mon époque. Je pense aux analyses ADN mais aussi aux écoutes téléphoniques. On aurait sans doute trouvé...
La prescription du dossier interviendra 2015. Pensez-vous qu’on aura identifié les auteurs à cette date? Je l’espère. Et je suis de toute façon favorable à un nouvel allongement du délai de prescription. La ministre de la Justice, Mme Turtelboom, y réfléchit. C’est une excellente idée. Il faut que l’on retrouve et que l’on juge ces tueurs!
Que pensez-vous de la polémique à propos de la profileuse Danièle Zucker, dont le rapport a été considéré par le procureur De Valkeneer comme "proche de l’escroquerie"? Je n’ai jamais rencontré Mme Zucker. Ce que je sais de son travail est plutôt positif. Elle a essayé de faire un rapport correct et, si je suis bien informé, elle rejoint plutôt une thèse assez proche de la mienne, celle de malfrats sans mobile politique.
En 2002, vous aviez le projet d’écrire un livre, vos mémoires. Où en êtes-vous? Nulle part! J’ai beaucoup de notes, mais un livre, j’hésite. Dire toute la vérité, vous savez, m’obligerait à avoir des mots durs pour certains enquêteurs, magistrats, journalistes… En ai-je encore l’envie?
Un proche tué au Delhaize de Braine
Jean Deprêtre allume une nouvelle Kent, enfoncé dans un fauteuil de velours posé devant la cheminée, ornée d’une statuette de Sainte-Gertrude, patronne de Nivelles. "Je ne devrais plus fumer. J’ai été opéré l’an passé. Artère bouchée", dit-il, en nous montrant une discrète cicatrice dans le cou. Il va conclure l’entretien: "Même si je suis retraité depuis dix ans, je n’ai jamais cessé de penser à cette affaire des tueurs du Brabant. Peu de gens le savent mais un membre de ma famille côté paternel (Roger Engelbienne, ndlr) a été tué lors de l’attaque du Delhaize de Braine-l’Alleud en 1985. Je pense souvent à toutes ces familles qui attendent une réponse. Et j’enrage en voyant que l’on enquête sur de mauvaises pistes. Il n’est pas trop tard pour découvrir la vérité. Je veux savoir."
Bron: Soir Mag | 22 maart 2012
Er mankeert een deel van het artikel, er stond ergens een kadertje met de initialen van de vijf Bende-leden volgens Deprêtre
Die vul ik nu eens graag aan, zie: V.A., D.W., S.T., F.J.P. en R.I. Liefst de initialen omgekeerd lezen, eerst voornaam en dan familienaam: A.V., W.D., T.S, J.P.F. en I.R.
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