Ben wrote:En wat we nu hebben is (en ik zeg het nog eens) een mogelijke diefstal van een wagen in Elsene, dat is het.
En dat feit is zelfs juridisch verjaard tenzij de Bendevorming (en lidmaatschap door Tinck) kan aangetoond worden.
Maar bon, afwachten wat dinsdag de uitspraak van de raadkamer zal zijn. De man is blijkbaar in beschuldiging gesteld van negen feiten waaronder vrijwillige brandstichting van een voertuig. Wanneer gebeurde de eerste brandstichting door de Bende? Want volgens dit artikel zou Tinck sinds april 1983 niet meer actief geweest zijn in de Bende (dus o.a. niet voor Temse en Nijvel). Hij zou ook niet deelgenomen hebben aan de feiten van 1985 maar wel nog verdacht zijn voor mogelijke dienstverlening aan zijn oude kompanen.
En mai 1982, le suspect est recherché pour le vol d'une vieille Austin Allegro à Ixelles. Deux hommes - parmi lesquels probablement Jean-Marie Tinck - sont les auteurs d'un vol de voiture. C'est le premier fait imputé à la bande de Nivelles. La même nuit, l'Austin (dont le réservoir était quasi vide) est retrouvée dans un garage à Lembeek, où les deux mêmes individus ont volé une VW Santana exposée dans un show-room.
Ce véhicule servira d'ailleurs à plusieurs fusillades et braquages cette année-là. Cinq jours après le vol de la VW, Tinck déménage d'Uccle à Ixelles. Il y habitera pendant un an, et coïncidence troublante, tous les faits qui lui sont reprochés ont eu lieu cette année-là.
Le 30 septembre 1982, trois hommes font irruption dans l'armurerie Dekaise à Wavre. S'en suit une fusillade avec la police à Hoeilaart, un agent est abattu. Pour ce hold-up, c'est à nouveau la même VW Santana qui est utilisée.
À partir d'avril 1983, l'individu n'aurait plus activement fait partie de la bande. Cette année-là, il est condamné pour une affaire de coups et blessures et purge 30 mois de prison. En 1984, c'est le silence radio autour de Jean-Marie Tinck. L'année d'après, trois Delhaize sont la cible d'un braquage à Braine l'Alleud. Les dégâts humains sont considérables avec respectivement 3, 5 et 8 morts. À ce moment-là, le suspect ne fait plus partie de la bande de malfrats, même si les autorités judiciaires le soupçonnent de rendre encore service à ses anciens complices. Il a même peut-être été leur chauffeur pour certains "coups". C'est ce qu'il aurait confessé à son ami français.