Er komt nu van alles naar boven, het wordt filteren jongens anders verzuipen we! wat hier van denken, bv. Martine D.:
"Cela va peut-être étonner certains, moi qui donne toujours des excuses à tout le monde, mais celui-là, j'espère de tout coeur qu'il va payer cher. Je sais que la loi autorise à tout citoyen d'être défendu mais je ne lui permettrais même pas un avocat. Que les enquêteurs n'hésitent pas à le cuisiner et pas simplement sur les tueries du Brabant wallon. Lui, il n'hésiterait pas un moment.
Il adore les tortures chinoises et les fils électriques. Il n'est pas simplement responsable des tueries du Brabant wallon mais, à la même époque, il a tenté d'assassiner et surtout de faire assassiner par des personnes innocentes plusieurs professeurs juifs de l'ULB, faits pour lesquels apparemment il n'a rien eu. Par contre, les personnes innocentes que lui et ses complices ont utilisées en les droguant, ont payé pour eux ou ont eu une partie de leur vie brisée, Sans parler des victimes. Et si, pendant les interrogatoires, ils pouvaient lui reprendre l'argent qu'il m'a volé après m'avoir assommée et plus dans les couloirs de l'ULB, cela me ferait plaisir parce que je le dois toujours à la personne à qui il appartenait.
Merci d'ailleurs à la personne qui est passée par là et qui l'a fait fuir. Désolée mais je ne me souviens plus de qui c'était. Ces quelques jours ont été trop éprouvants. Je ne me rappelle pas encore de tout. Mais je suppose, qu'à l'époque, il y a eu enquête. Je ne comprends pas comment ils ne l'ont pas fait payer plus. Il est sorti de prison aussi vite qu'il y était entré et il a eu le culot de venir me voir et de me narguer en plus. D'ailleurs, au même endroit que fréquentait Marc Dutroux. Quelle coïncidence ! Bon sang, les enquêteurs, idem que pour le meurtre de Christine van Hees, interrogez toutes les personnes fréquentant les bistrots de la Place Flagey à l'époque, sans exception.
Moi, étant donné que j'ai été amnésique concernant cette période pendant 30 ans, on peut douter de mes souvenirs et quand j'en parle, on me parle de psychiatrie, mais les autres pas. Marc Dutroux, par exemple ou les professeurs de l'ULB témoins. Entre nous, ceux qui me parlent de psychiatrie sont complices ou payés, d'après ce que j'ai pu entendre. Et surtout, que personne ne se taise plus pour moi. Je me souviens maintenant, plus la peine qu'il y ait la loi du silence. Je vais bien. Et un message personnel pour un des professeurs de l'ULB que je cite plus haut, s'il lit ces lignes (on peut toujours espérer): Ne les croyez plus. C'est bien moi qui écris. Je suis bien vivante et en pleine santé. Nous nous sommes même parlés à l'enterrement de ma mère.
Je vous demande pardon, je ne vous avais pas vu depuis longtemps et je ne vous ai pas reconnu ce jour-là. Sur le coup, je n'ai pas réalisé le sens exact de vos paroles et je vous assure que je n'ai rien à voir avec l'horrible comédie qu'ils vous ont jouée. Je ne veux d'ailleurs plus les voir. Et je vous le redis, même si cela vous choque : ce sont des monstres. Je pense que nous devrions parler de tout cela le plus vite possible. Il paraît que Sud-Presse est le quotidien le plus lu J'espère donc que cela sera lu par la bonne personne ;-) De toutes façons, j'ai déjà remarqué que certains de ces collègues commentaient parfois. J'espère donc que le message sera transmis...
Bron » www.sudinfo.be