Bedankt voor de tip. Verwacht echter geen grote onthullingen in dit artikel. Het meest interessante is de info over de boerderij van Calmette (die Merovinger hierboven ook al heeft gedeeld):

Que faisait le fameux Jean-Francis Calmette dans un logement situé à ... deux rues de la base de Chièvres, à la moitié des années 1980? Le journaliste René Haquin, aujourd'hui décédé, l'y aurait rencontré à plusieurs reprises. Joël Lhost l'a répertorié dans ses carnets de notes confiés aux enquêteurs. L'ancien officier de gendarmerie Christian Amory, réputé proche du WNP, l'aurait aussi signalé lors d'une audition datant de février 1988.

Jusqu'ici, personne ne s'était interrogé sur les raisons de ce déménagement soudain. Calmette était à ce moment domicilié à Bruxelles, mais il aurait résidé à la rue Royale, à Hesnies, à deux kilomètres à vol d'oiseau de l'aéroport de Chièvres. Selon le gendarme Christian Amory, Calmette rencontrait là ses amis aux mêmes idées politiques. Il y aurait testé des armes et organisé des entraînements de type paramilitaire. Construisait-il - aussi - des stratégies d'exfiltration des Tueurs sous d'autres cieux?

Calmette à Chièvres: une simple coïncidence, sans doute ... Dans les milieux de l'enquête, cela dit, plus personne ne conteste  que le Hainaut a constitué "la" base de repli et de confort des Tueurs du Brabant. C'est dans le même périmètre qu'ils ont abandonné leur VW Golf noire à l'issue de la dernière attaque, celle d'Alost, en novembre 1985.

C'est là qu'ils ont abandonné des tas d'indices. C'est dans cette direction qu'ils semblent avoir fui de manière systématique. Dans ces lieux qu'ils connaissaient comme leur poche et ou ils bénéficiaient de discrets espaces de rencontre. Dans cette province du Hainaut servant de repaire pour les Tueurs masqués et aussi ... pour les adeptes du WNP.

Bron: Le Soir Magazine | mei 2015