Django68 wrote:Ik heb het gelezen in de bibliotheek. Ik zal het volgende week opvragen en inscannen.
Bedankt om het door te sturen. Hieronder het artikel (sommige woorden waren er afgevallen, deze zijn vervangen door (...)):
Tueries du Brabant: Michel Cocu était toujours dans le collimateur
Une source proche: "Pour nous, il était impliqué. On l’avait recruté." Christian De Valkeneer: "Nous pensions qu’il savait des choses et pouvait nous les dire".
Hier après-midi, une réunion avec la juge d’instruction et des enquêteurs devait décider à Charleroi de perquisitionner ou non à Boussu le domicile de Michel Cocu, le chef de la filière boraine décédé dimanche des suites d’un cancer, à l’âge de 65 ans.
Les enquêteurs des tueries du Brabant veulent s’assurer que Cocu, qui est mort sans avoir jamais parlé, n’a pas laissé de documents ou des indices en lien avec les tueries ayant fait 28 victimes entre 1982 et 1985.
Selon nos infos, Cocu était toujours dans le collimateur. Une source proche confie hier: "Pour nous, Cocu a eu un rôle. (...) Il a été recruté."
L’an passé, la DH avait révèle que le procureur De Valkeneer en personne s’était (…) à Boussu pour convaincre Cocu de collaborer. De Valkeneer (…) hier: "Nous pensions et pensons encore que M. Cocu (…) détenir un certain nombre d’informations par rapport au Brabant Wallon et qu’il se trouvait dans une situation où il était suspect d’accepter de collaborer."
Avant-dernier survivant du filière boraine, il n’avait plus (…) ni personne à craindre. Depuis son acquittement en 1988, il (…) qu’il ne pouvait être re-(…). Quand De Valkeneer le vi-(…)e, Cocu vient coup sur coup de (…)rdre son père et sa mère. La prime de 250.000 euro pouvait aider dans son combat contre le cancer.
Mais Cocu n’a rien voulu entendre et a claqué la porte au procureur comme il l’avait fait dix ans plus tôt avec le président Lacroix qui tentait déjà la même démarche. Toujours selon nos infos, la cellule d’enquête a pourtant encore essayé via un intermédiaire. Elle a même espéré que Cocu se laisserait convaincre mais au dernier moment, ce dernier a refusé. Pour les nouveaux enquêteurs, "Cocu savait des choses et la mort de Cocu est un chance qui disparaît". Une source proche (qui n’est pas De Valkeneer) insiste:
"Pour nous, Michel Cocu a eu un rôle. Il a été recruté. Sans forcément savoir par qui ni pour quoi, mais il a été recruté."
Michel Cocu avait avoué trente-six fois sa participation à la tuerie du Colruyt de Nivelles avec déroulement exact de celle-ci, description précise des lieux, depuis les grillages à l’arrière du Colruyt et le rangement des caddies jusqu’au détail de la boîte électrique Unerg et la couleur des bonbonnes à chalumeau. L’arrivée de la Mercedes blanche, son propre rôle au volant de la BMW, la phrase d’Adriano Vittorio au moment d’achever le gendarme Morue: "Encore un flic de moins", la fusillade du Diable Amoureux, le pneu crevé de la Saab 900, le petit sentier, tout y était et c’était correct.
Son acquittement devait davantage aux cafouillages invraisemblables de l’enquête qu’à un dossier vide. Nous pouvons révéler aujourd’hui qu’après l’acquittement, un avocat nous avait confié: "Cocu est acquitté mais il y a des documents en lieu sûr. Je les sortirai le jour où Cocu mourra."
Outre les 36 aveux signés de Cocu, il y a sa phrase célèbre qui prévenait dès octobre 1983: "Il y a des gens au-dessus de nous que vous n’atteindrez jamais." Cette vision des tueries du Brabant exprimée par Cocu, il y a 33 ans, cadre à 100% avec l’état actuel de l’enquête.
Il y a ce codétenu qui certifiait que Michel Cocu lui avait parlé d’une organisation appelée VDO. On avait supposé que le codétenu, un Yougoslave, avait mal compris et que Cocu avait voulu dire: VMO.
Meer info over 'VDO' en de brief van Cocu vind je hier » Forum
Il y avait enfin son comportement: Cocu menait depuis 29 ans une vie d’ermite, comme si la peur ne l’avait jamais quitté. Au point de refuser d’ouvrir la porte à Christian De Valkeneer alors qu’il n’avait plus rien à perdre.
Et refuser 250.000 euro à un moment où, dans la misère, rongé par le cancer, il en avait pourtant le plus grand besoin.
Michel Cocu n’était pas, contrairement à ce qui se disait hier, le dernier de la filière boraine. Il en reste un: Kaçi Bouaroudj, actuellement 72 ans, qui fut également acquitté en 1988 alors que Cocu l’impliquait dans les tueries aux Colruyt de Hal et de Nivelles le 3 mars et le 17 septembre 1983.
Michel Cocu, qui avait été policier communal, a-t-il laissé quelque chose? La dépouille sera incinérée. Hier soir, on n’avait pas encore procédé à la fouille de son domicile …
Bron: La Dernière Heure | Gilbert Dupont | 7 december 2016
Kort samengevat:
De onderzoekers zijn ervan overtuigd dat Michel Cocu betrokken was bij de Bende van Nijvel.
Hij is gerecruteerd zonder dat hij wist waarom hij bepaalde feiten moest plegen.
De onderzoekers gaan er dus vanuit dat er een complot was.
Zowel onderzoeksrechter Lacroix als procureur De Valkeneer hebben geprobeerd om Cocu te overtuigen om te praten.
Op een bepaald moment was het via een tussenpersoon bijna gelukt, maar op het laatste moment is Cocu van mening veranderd.
Cocu had na al die jaren nog steeds schrik en leefde als een arme kluizenaar.
Er zouden documenten van Cocu zijn die beschikbaar zouden komen op het moment dat Cocu sterft.
"Le monde est dangereux à vivre! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire." Volg ons via »
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