Michel Libert geeft zijn visie op de volgende uitspraken van Martial Lekeu:
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Les commentaires de Martial Lekeu m'interpellent, en effet, et je vais, à votre demande, m'exprimer sur les deux extraits que vous me présentez.
Primo. Comment Latinus pouvait-il prétendre que quelqu'un ou des quidams inconnus de nos lignes puissent être à l'origine de déviances alors que chacun était tout naturellement "encadré" et que tous ceux qui ne pouvaient plus l'être de façon optimale, étaient, d'une part, renseignés aux instances avec lesquelles nous collaborions et, d'autre-part, anticipativement compromis par des mesures adéquates prisent à leur insu (notamment par le marquage de munitions ou le piégeage de documents par une ponctuation particulière).
Je me permettrai de vous rappeler que les individus qui, malgré toutes nos précautions régies par un strict protocole administratif, se révélaient être potentiellement dangereux et susceptibles d'agir en élections libres, étaient signalés instantanément à la cellule de la Sûreté Nationale dont nous répondions. Ce fut "notamment" les cas de Elnikoff et de ses satellites directs connus, de Xavier Sandron et son cercle "Kiss" ainsi que de Hermann Wachtelaere et son univers de relations plus qu' équivoques, et ce malgré son rang.
Secundo. Monsieur Lekeu, loin de contester ses remarques et observations, mélange ses cartes et conclusions.
Personnellement, au poste que j'occupais, un pied au PAL, l'autre au WNP, j'aurais été, nécessairement, la première personne à être informée de la présence de membres spécifiques du groupe G (pour autant que celui-ci ait agis au sien de la structure). En effet, une fois une promotion constituée (minimum de 1 parrain et un minimum à terme de quatre parrainés), les Nom, Prénom, date et lieu de naissance de chaque nouveau membre était stipulé sur l'état d'effectif remis trimestriellement à Paul Latinus. Toutes autres références civiles, qualités, observations familiales et professionnelles, résultats d'interview et avis de capacités physiques et intellectuelles faisaient parties de dossiers individuels édités en trois exemplaires, une fois le nom code officiel définitivement accordé et attribué (le feu vert définitif émanant d'Allemagne afin d'éviter les doublons). Ces dossiers étaient alors convertis en un listing en deux exemplaires, l'un remis à Robert Thomas pour encodage au sein de la cellule informatique du Marché Commun de l'époque, l'autre à Monsieur Wilhelm du PAL.
Monsieur Lekeu a certainement voulu exprimer que le "WNP" et "le groupe G" faisaient partie ..."de" la même "Organisation" et non pas ... étaient "la" même organisation.
Ainsi, avec le reliquat des souvenirs rétabli et les nouveaux éléments troublants alignés sur le même schéma, on pourrait établir sous le département relevant du vocable BURAFEX, la liste "non-exhaustive" des cellules interconnectées répondant aux ordres d'un sillage commun émanant de l'Organisation (la qualifierait-on de Gladio Bis? ... j'en franchis à présent aisément personnellement le pas):
- Trident
- Minerve
- Scorpion
- Epervier
- Alliance
- Allianz
- Sparte
- Beil
- WNP
- GAP
- Groupe G
- Catena