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Topic: Hubert Defourny

Hubert Defourny is een gewezen onderofficier van de Rijkswacht. Hij was een wapenfreak die niet vies was van wapensmokkel. Na een tweede arrestatie wegens vermeende internationale wapensmokkel verliet Defourny de Rijkswacht. Hij kon zijn extreem-rechtse bloedgroep echter niet loochenen en richtte zijn eigen extreem-rechtse partij - Agir - op. In 1995 werd hij tijdens de provincieraadsverkiezingen verkozen tot raadslid in Luik. Hij stond ook in contact met Ghislain Soumoy, een rijkswachtkolonel uit Luik. In 1989 werd bij hem thuis een schietstand en een wapencollectie gevonden in zijn kelder.

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Re: Hubert Defourny

Defourny au rapport: L'élu d'extrême droite poursuivi pour constitution de milice privée

Le tribunal correctionel de Verviers a entendu mardi le réquisitoire du parquet et les plaidoiries dans le cadre du dossier de l'ex-gendarme Hubert Defourny. L'élu verviétois d'extrême droite est poursuivi, avec huite autres personnes dont quatre Allemands, des chefs de constitution de milice privée et d'exhibition en public en ayant l'apparance de troupe militaire.

Les fait remontent au mois de juin 1993. Un rencontre internationale de véhicules militaires est organisé à Stoumont-La Gleize, en province de Liège. Hubert Defourny, Dominique Samain, Serge Clooth (*), Axel Gadeyne et Alain Pauchen s'y rendent dans un véhicule militaire de l'armée belge. L'accès à la manifestation leur est toutefois interdit car leur véhicule a été construit après 1945. Ils se retrouvent alors dans une prairie louée par quatre Allemands qui y paradent en uniformes SS et y ont déployé un drapeau à croix gammée.

Plusieurs plaintes téléphoniques arrivent à la gendarmerie, notamment après que, deux nuits de suite, on ait entendu le groupe écouter de la musique militaire, des discours de Hitler et Goebbels tout en scandant des chants nazis. La gendarmerie interviendra définitivement le 27 juin en contrôlant tout ce petit monde et en saisissant le drapeau, un fusil, des baïonnettes et une cassette contenant les enregistrements des discours nazis.

Si les quatre prévenus allemands sont prudemment restés chez eux, Hubert Defourny et ses sympathisants affrontent la Justice. Ils contestent formellement s'être comportés comme une milice privée, ce que le parquet leur accorde dans son réquisitoire en annonçant qu'il laisse de côté ce chef d'inculpation! Quant au port, en public , d'uniformes oud d'insignes nazis, ils le contestent tout autant. Seuls les Allemands se seraient livrés à ce genre d'exhibition et il est vrai que les procès-verbaux semblent fort imprécis à ce sujet.

"Ce réquisitoire est un shopping-center d'arguments", a declaré Me Libert, l'avocat d'Hubert Defourny. Il reste maintenant au président du tribunal, M. Dumoulin, à y promener son caddie. Jugement le 31 octobre.

Bron: La Libre Belgique | 4 oktober 1995

(*) Zie het dossier-Van Hees voor meer info over Serge Clooth » Forum

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Re: Hubert Defourny

Serge Clooth? Nou, nou... Als het dezelfde persoon is en geen homoniem is dit best wel een interessante vondst.

En zeer actueel » resistances-infos.blogspot.be

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Re: Hubert Defourny

(...) Bij het BIS (*) is voorts ex-rijkswachter Hubert Defourny actief. Hij was lange tijd de leider van de Waalse groep Agir. Hij werkte in de jaren zeventig in hetzelfde rijkswachtdistrict als Johan Demol. Hij moest het korps verlaten na in Parijs te zijn veroordeeld wegens wapensmokkel voor extreem-rechts.

(*) BIS staat voor Bruxelles Identite Securite (BIS) en was Franstalige propagandamachine van het Vlaams Blok.

Lees hier het hele artikel » Nieuws

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Re: Hubert Defourny

Extrême droite: gendarme belge arrêté à Paris

Un sous-officier de gendarmerie attaché au groupe mobile de Liège, basé à Vottem, a été arrêté ce week-end à Paris et écroué lundi par le juge d'instruction français Bruno Laroche: il a été interpellé alors qu'il remettait six armes à un restaurateur français, Jean-Louis Ducatel. D'autres armes, des emblèmes nazis et des documents ont été saisis lundi chez le gendarme, près de Liège, au cours d'une perquisition.

Des enquêteurs français ont pris contact avec les autorités judiciaires de Liège dès lundi, après l'arrestation à Paris du sous-officier Hubert Defourny. Il a été interpellé alors qu'il remettait six armes de poing au restaurateur Ducatel.

Les deux hommes ont été inculpés d'infraction à la législation sur les armes et écroués par le juge Laroche. Une perquisition chez le gendarme Defourny a permis la découverte d'un véritable local nazi et d'armes diverses.

Het vervolg van het artikel:

Extrême droite: gendarme belge arrêté à Paris

La perquisition d'Oupeye a amené les enquêteurs à saisir dans un local décoré d'emblèmes nazis avec un petit stand de tir, une panoplie de casques et uniformes allemands et une collection d'armes en grande partie non démilitarisées. Le sous-officier soupçonné d'être un des maillons d'une filière de fourniture d'armes, notamment à l'extrême droite française, avait déjà eu des ennuis pour une précédente affaire.

Celle-ci s'inscrirait dans un contexte plus vaste qui touche à certaines fractions dures de l'extrême droite belge et aux relations entre ces fractions et des groupes en France et en Espagne notamment. Côté belge, on s'intéresse à certains extrémistes adeptes du tir pratique, à des armuriers, aux groupuscules qui ont pu aider des militants à quitter le pays, depuis neuf ans. On pense aux départs pour le Paraguay de Jean-Marie Paul et de Béatrice Bosquet, après le crime de Laeken, en décembre 1980, de l'ancien directeur adjoint de prison Bultot, en janvier 1986, après l'arrestation de Madani Bouhouche dans le cadre de l'assassinat de l'ingénieur Mendez, ainsi qu'à deux ex-gendarmes, dont Martial Lekeu, qui se sont installés aux Etats-Unis et, tout récemment, à la fuite de Bouhouche, arrêté en Espagne, et de Beijer, passé par le Paraguay et peut-être réfugié en Argentine, comme l'a laissé entendre Bultot au cours du dernier week-end.

Certains groupes d'extrême droite en Belgique ont gardé des contacts étroits notamment avec l'extrême droite espagnole (Fuerza nueva) et les milieux proches de Degrelle. Dans ce cadre ont lieu des compétitions de tir auxquelles des Belges se rendent régulièrement. Dans les dernières années sont nés, notamment dans la région liégeoise, des groupuscules d'extrême droite regroupant principalement des militaires et des gendarmes.

Bron: Le Soir | René Haquin | 27 September 1989

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Re: Hubert Defourny

Le gendarme de Vottem avait déjà été arrêté pour dépôt d'armes...

Placé sous mandat de dépôt pour infraction à la législation sur les armes par le juge Laroche, à Paris, le gendarme liégeois Hubert Defourny, 33 ans, est depuis dimanche l'objet d'une enquête de la PJ de Liège qui a découvert chez lui, à Hermée (Oupeye), des armes, des uniformes, des emblèmes nazis et un stand de tir, mais fouille aussi les antécédants et les contacts de ce singulier sous-officier.

Entré à la gendarmerie il y a quatorze ans, marié et père d'un enfant, Hubert Defourny a été arrêté à Paris le week-end dernier avec des armes de poing qu'il venait de remettre à un restaurateur français, Jean-Louis Ducatel, et destinées, croit-on, à des milieux d'extrême droite. Defourny nie, tandis que Ducatel dit n'avoir été que l'intermédiaire dans des transactions pour lesquelles il touchait des commissions. Sept armes de poing ont été saisies à Paris et font actuellement l'objet d'expertises, tandis que les enquêteurs cherchent à remonter les filières du trafic. Defourny se rendait régulièrement en France, et son dernier voyage, effectué alors qu'il était en congé (il devait reprendre son service hier), avait été surveillé par une équipe mixte composée notamment de membres de la brigade nationale de la police judiciaire venus de Bruxelles.

Sous-officier au quatrième groupe mobile caserné à Vottem, chargé notamment d'escorter les détenus au palais de Justice de Liège, Defourny avait déjà eu des ennuis à deux reprises. Il y a quelques années, il avait été placé sous mandat d'arrêt et détenu pendant cinq jours à Verviers pour dépôt illégal d'armes de guerre non démilitarisées. Un collectionneur d'Aywaille avait également été impliqué à l'époque, mais l'affaire se termina sans condamnation pour les deux hommes. Sur le plan disciplinaire, Defourny écopa d'une sanction de principe et fut alors muté au groupe mobile de Vottem.

On le savait fanatique d'armes et d'emblèmes nazis. Il fréquentait des membres de l'amicale para-commando de Liège, sans l'avoir lui-même été, et certains laissent entendre qu'il a pu bénéficier à la gendarmerie de la protection d'un officier supérieur ainsi que d'un un ancien sous-officier aujourd'hui pensionné, et proche lui aussi de l'amicale para-commando.

On cite aussi le nom d'un personnage curieux ayant eu maille à partir avec la Justice pour s'être présenté à diverses reprises comme agent de la Sûreté, un certain Marc Goffin, qui fréquentait régulièrement certains gendarmes du groupe mobile de Vottem. (*)

Parmi les nombreuses armes trouvées dimanche lors de la perquisition chez Hubert Defourny, rue Fexhe-Slins à Hermée (Oupeye), une seule serait détenue sans autorisation. L'aménagement d'un stand de tir en sous-sol de l'habitation n'est pas en soi une infraction, à moins qu'il ne soit établi que ce stand ait servi à des exercices. De même, la détention d'emblèmes, de drapeaux, d'uniformes n'est répréhensible que dans la mesure où ils ont été utilisés. De nombreux documents saisis sont actuellement analysés à la police judiciaire de Liège.

Defourny n'est apparamment pas répertorié comme membre inscrit à l'un ou l'autre groupe d'extrême droite en Belgique. Mais on sait qu'il y a une dizaine d'années, les gendarmes qui appartenaient au Front de la jeunesse n'y étaient pas inscrits, de crainte de représailles à l'intérieur du corps, au cas où leurs noms seraient découverts. C'est ainsi qu'avait été informellement créé le «Groupe G» (comme Gendarmerie), dont a parlé l'ancien gendarme Martial Lekeu, parti vivre en Floride.

Bron: Le Soir | René Haquin | 28 September 1989

(*) Vreemd verhaal. Het toeval wil dat Willy Acke het in zijn nota's op een bepaald moment ook heeft over een "Marc Goffin":

https://i25.servimg.com/u/f25/11/22/12/24/goffin10.png

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Re: Hubert Defourny

Wapens mogelijk bestemd voor Front National

De wapens die de Belgische rijkswachter Hubert Defourny maandag in Parijs overhandigde aan een Franse restauranthouder waren mogelijk bestemd voor het Front National van Le Pen of een andere extreem-rechtse groepering in Frankrijk. Uitgesloten wordt evenmin dat de wapens moesten dienen voor het Franse milieu.

Rijkswacht Defourny, ingelijfd bij de brigade van Vottem, heeft tot nog toe geen uitsluitsel hierover gegeven aan de onderzoeksrechter in Parijs die hem onder aanhoudingsmandaat heeft gesteld. Hij ontkent trouwens elke vorm van wapenhandel. Defourny werd aangehouden op het moment dat hij zes handvuurwapens overhandigde aan de restauranthouder.

Het Franse gerecht was getipt door de Belgische rijkswacht die Defourny al een hele tijd in het oog hield omwille van zijn ongewone passie voor vuurwapens en zijn extreem-rechtse sympathieën. Belgische rijkswachters waren trouwens vorige week naar Parijs gereis om samen met de Franse gendarmerie een strijdplan op te stellen. Defourny werd geschaduwd en betrapt tijdens de wapentransactie.

Na de aanhouding werd een huiszoeking verricht in de woning van Defourny in Oupeye. Daar werden talrijke wapens, nazi-emblemen en Duitse helmen uit de Tweede Wereldoorlog aangetroffen. IN de woning was zelfs een kleine schietstand gebouwd.

Bron: Gazet van Antwerpen | 28 September 1989

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Re: Hubert Defourny

Ex-gedetineerden helpen slachtoffers van geweld - Ex-rover en wapenhandelaar bij Agir-initiatiefnemers

Vanaf januari is in Seraing, één van de steden uit de industriegordel rond Luik, SOS Agressions de Victimes actief, een vzw die zich ontfermt over slachtoffers van geweld, diefstal, verkrachting en nog tal van andere actes de violences waar Les Sérésiens (de inwoners van Seraing) het slachtoffer van zijn. Op zich klinkt het helpen van mensen die in zo'n situatie terechtkomen, nobel en sociaal.

Bij nader toezien blijkt echter dat twee van de in totaal zes stichters van deze vereniging een gerechtelijk verleden hebben. Het gaat om Jean Marie Simar (*) en Hubert Defourny, bepaald géén doetjes: ze zijn beiden veroordeeld en ze hebben ook hun straffen uitgezeten.

De eerste zat drie jaar in de cel omdat hij een postkantoor overviel. Naar verluidt zou hij nu een voorbeeldig bestaan leiden en hij baat al veertien jaar een benzinestation in Seraing uit. Zijn vriend en gewezen rijkswachter Hubert Defourny heeft ook geen blanco strafregister. Hij werd in de boeien geslagen omdat hij illegaal wapens verkocht. En daar heeft hij bijna twee jaar voor in een Parijse gevangenis gezeten.

Wat hebben ze nog gemeen met elkaar? Jean Marie Simar en Guy Brughmans, voorzitter van de vzw en een zelfstandig boekhouder, zetelen volgende week in de gemeenteraad van Seraing. Zij werden verkozen voor Agir, een extreem-rechtse Waalse partij. Bovendien zijn alle zes stichters van SOS Agressions de Victimes actief lid van deze partij. Ze hebben er ook geen moeite mee om dat toe te geven.

Operatie charme

Nu gaan ze slachtoffers van geweld opvangen en eventueel morele, psychologische en gerechtelijke bijstand verlenen of hen geld geven. Maar dat binnen de vzw voor slachtofferhulp een aantal personen actief zijn die strafbare feiten hebben gepleegd, schiet toch bij veel mensen in Seraing in het verkeerde keelgat. "Wat ze gaan doen, is pure bluf", vertelt Robert Desaedeleer, de voorlichter bij de politie van Seraing. "Ze willen met die vzw hun blazoen oppoetsen. En het gebeurt in de zin van: kijk eens, we zijn goeie kerels. We hebben het toch niet slecht voor met de mensen. Kijk, daar kan ik nu niet tegen. Het is toch schijnheilig. Zelf beschikken we binnen de politie over een eigen cel met een team van deskundigen die slachtoffers van gewelddaden helpen. Persoonlijk heb ik niks tegen het doel van hún vzw, maar ik vrees dat het hier enkel en alleen om een acte de charme gaat. Kortom, een puur politieke actie."

Zijn ze bezig met een operatie om de mensen positief te stemmen en leden voor Agir te werven?

"Ten eerste, we hebben nog nooit van die cel van de politie gehoord", stelt Guy Brughmans, tevens gemeenteraadslid van Seraing.Zelf geeft hij niet toe dat zijn vereniging voor hulp aan slachtoffers van geweld ontstaan is om nieuwe leden voor Agir te ronselen. En ten tweede: waarom zouden we behoefte hebben aan une opération de charme?" Zijn woorden zijn nog maar net uitgesproken of hij krijgt al tegenwind van Hubert

Bron: Het Belang van Limburg | 29 December 1994

(*) Gewezen lid van het Front de la Jeunesse

Luiks provincieraadslid Defourny aangehouden

Donderdag is tegen Hubert Defourny, gemeenteraadslid in Verviers en provincieraadslid in Luik, een arrestatiebevel uitgevaardigd. Het parket weigerde alle verdere commentaar. Defourny wordt onder meer beschuldigd van wapenbezit. Voorts werd in de woning van de beschuldigde nazistische literatuur aangetroffen. Defourny is een voormalig lid van de Franstalige extreem-rechtse groepering Agir. Sinds eind januari zetelde hij als onafhankelijke in gemeente- en provincieraad.

Bron: Het Belang van Limburg | 16 September 1995

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