Ben wrote:Volgens nieuwe vaststellingen zouden de gangsters de overval hebben gepleegd om iets terug te eisen of te komen halen. Het zou kunnen gaan om een koffer of een aktetas. In 2004 hebben de onderzoekers samen met de Civiele bescherming zelfs de kelder van de juwelier doorzocht. Tijdens hun zoektocht in de kelder hebben ze iets gevonden, maar de onderzoekers nuanceren: "het was al gekend bij de diensten".
Voor de volledigheid de originele bron van deze info:
Tueries: fouilles dans la bijouterie d'Anderlues!
Le 1er décembre 1983, les tueurs du Brabant wallon abattent un couple de bijoutiers. La justice cherche le vrai mobile.
Pour autant que la météo le permette, c'est lundi prochain que des fouilles débutent en principe dans les bois de la Houssière (Braine-le-Comte) pour éventuellement exhumer les restes d'un des tueurs du Brabant wallon.
Rappelons aux plus jeunes que, de mi-1982 à novembre 1985, des tueries ont fait 28 victimes en Belgique, que les auteurs n'ont jamais été démasqués et que c'est l'honneur de la justice et de la police belges de continuer de chercher. Comme hier à Anderlues.
Le jeudi 1er décembre 1983, les tueurs attaquent une petite bijouterie, rue de la Station, à Anderlues. Un couple de bijoutiers, Maria Krystina Slomka et son mari, Jean Szymusik, sont tués sur place. Leurs enfants, qui se cachaient à l'étage, assistent à une partie de la scène. Il se fait que la police avait arrêté quinze jours plus tôt de petits truands de la région de Mons et que l'un d'eux, Michel Baudet, avait fait, la veille, une déclaration visionnaire. "Nous sommes innocents. Vous seriez bien étonnés s'il y avait demain une nouvelle tuerie avec les mêmes armes."
Et c'est ce qui se passe le 1er décembre 1983 à Anderlues comme pour mettre les Borains hors coup. Ceux-ci allaient d'ailleurs être libérés et finalement acquittés.
Les tueurs s'en prenaient à des armuriers, à des restaurants et des supermarchés. Une bijouterie de quartier, c'était atypique. Après Anderlues, il n'y a plus eu d'agressions pendant dix-huit mois.
1983/2004: 21 ans qu'on recherche le vrai mobile d'Anderlues.
A 50 mètres de la bijouterie se trouve un Colruyt: les tueurs pensaient-ils l'attaquer et un incident les en a-t-il dissuadés qu'ils se seraient rabattus sur la boutique?
Des renseignements récents ont suggéré qu'ils avaient peut-être voulu récupérer quelque chose. On est allé jusqu'à supposer l'existence d'un coffre ou d'une cache et c'est bien la raison pour laquelle la cellule Brabant wallon et la Protection civile ont entrepris, hier, discrètement, de fouiller jusque dans les fondations de la bijouterie Szymusik. Leurs recherches devaient se poursuivre au finish jeudi soir.
Un résultat? A la recherche d'une cache secrète, les policiers ont découvert quelque chose qui pouvait y ressembler mais, nuance-t-on, "était peut-être déjà connu". Trop tôt, en tout cas, pour tirer des conclusions. "On verra demain."
Bron: La Dernière Heure | Gilbert Dupont | 24 September 2004
"Le monde est dangereux à vivre! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire." Volg ons via »
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