Aubanel wrote:Dank voor de bemerking, FreCr, maar ik haak af.
Op het eerste zicht leek onderstaand me niet echt te wijzen op een goede band tussen Beijer & Besbrugge, maar ik kan verkeerd zijn uiteraard. Hoe moet ik onderstaand in de juiste context plaatsen? Eerder vriendschappelijk of eerder vijandig? (ernstige vraag)
Op 25/06/2007 schreef "Anonymou" op het tueries forum (i.v.m. Gérald Lafaurie):
A lire ce que vous venez d'écrire, je reconnais le nom de Gérald Lafaurie. Il ne s'agit de rien d'autre que de l'informateur "bidon" (c'est ce que j'ai toujours prétendu) des gendarmes Besbrugge et Mathijs, deux échappés du BND qui se sont retrouvés à la BSR de Bxl et dans le bureau desquels j'avais mis un micro, car je les soupçonnais précisément de "chipoter" avec cet informateur. C'est le moment d'embrayer sur la théorie des grands complots. Mais je m'en garde bien, car la Belgique et Bxl sont petits.
Op 14/12/2009 schreef "K" op het tueries forum:
Attention: Beijer n'aime pas Goffinon ni son ancien collègue dont il a fait des écoutes. Ce collègue avait la confiance de feu Raes. on peut croire un peu et beaucoup... il y a peu de difference entre une petite mensonge et une petite verité...
Waarop "minus" op 14/12/2009 reageerde:
C'est vrai, Beijer n'aimait pas Goffinon quand celui-ci, se laissait emporter par sa vanité, ce qui influençait les enquêtes. Mais des centaines de gendarmes n'aimaient pas Goffinon. A côté de cela, ce pouvait être un type agréable, toujours bien habillé mais à l'esprit restreint. Et le collègue dont vous parlez, citons-le, il n'y a pas de secret, Bessbruge et son binôme Mathijs, Beijer l'aimait encore moins. Parce que manifestement, celui-là chipotait avec son informateur, parce que rescapé du BND, il niait la BSR mais surtout parce qu'il n'avait pas de c.... Car si vous connaissiez un peu l'histoire, vous sauriez que c'est lui qui a informé Raes des malversations du BND. Mais lui n'osait rien dire ni faire, sa carrière passant avant toute chose. Alors, il a trouvé le brave Raes, un peu limité mais droit comme un I et il l'a poussé en avant. Et c'est évidemment Raes qui a pris tous les ennuis, tandis que notre ami Besbrugge retirait les marrons du feu. Bel esprit d'équipe.
Mais là, n'est pas le propos. Vous imaginez, vous K, parce que vous n'aimez pas quelqu'un, vous allez monter une équipe, une structure de box et appartements, vous allez vous constituer un vrai charroi, vous allez faire le plein en armes, vous allez voler des explosifs et tout ce qui va avec, pour le simple plaisir de faire une bombe et tuer le type que vous n'aimiez pas. Il y a quand même des méthodes plus faciles, moins coûteuses et surtout plus discrètes! Non?
In "De Bende van Nijvel" van Bouten, staat een zin van François Raes:
François Raes: "Als je de Bende wilt ontmaskeren, moet je beginnen bij Bruno Farcy. (...) Farcy had vier broers die voor hem werkten, hij kon dus terugvallen op minstens vijf adressen in Brussel en Waals-Brabant. Door zijn alliantie met Clonen, Beijer en Cammerman beschikte hij over betrouwbare informatie over iedereen die hem wat in de weg wou leggen. Mijn collega’s Besbrugge en Deridder, die niet meededen aan al die corruptiepraktijken van het Nationaal Drugsbureau, werden door twee Joegoslavische huurmoordenaars belaagd. Ongetwijfeld zat Farcy hierachter."
Non semper ea sunt quae videntur