Vielsalm: le mystère de l’attaque de la caserne élucidé?

Lucien Dislaire révèle l’identité de l’auteur des coups de feu et relance la piste du banditisme.

L’enquête sur l’attaque de la caserne Ratz à Vielsalm, dans la nuit du 12 au 13 mai 1984, n’a jamais abouti. Plus de trente ans après les faits, aujourd’hui prescrits, Lucien Dislaire, qui fut inculpé de tentative d’assassinat sur la personne de Carl Fresches, le sous-officier de garde, revient sur cette affaire qui lui a porté préjudice.

“Dans le cadre de ces manœuvres interalliées Oesling , j’avais accepté le rôle de partisan par civisme”, rappelle-t-il. “L’enquête s’est clôturée par un non-lieu, mais tant que l’auteur n’a pas été identifié, je reste, dans l’opinion publique, le coupable.”

Il précise qu’il a eu accès au dossier et mené sa propre enquête notamment en France. Il est arrivé à la conclusion que deux hommes, un Belge et un Français, ont attaqué l’armurerie et volé une vingtaine d’armes, laissant pour mort Carl Fresches. “Ils savaient que l’opération Oesling venait d’être annulée. Durant la nuit, ils sont arrivés en jeep et ont pénétré dans la caserne, par l’arrière. Après le vol des armes, Carl Fresches s’est trouvé sur leur chemin. L’un d’eux a ouvert le feu.”

Selon Lucien Dislaire, l’auteur des coups de feu est Jean-Pierre Jourda, 55 ans, un truand français. “Je l’ai rencontré près de Paris et il m’a avoué avoir tiré sur Fresches pour l’empêcher de donner l’alerte.”

Il explique, par ailleurs, qu’il révèle son identité aujourd’hui car il n’est plus de ce monde. Incarcéré depuis septembre 2015 pour avoir séquestré pendant deux mois, en Espagne, un homme d’affaires toulousain pour lui extorquer de l’argent, il a, en effet, mis fin à ses jours à la prison de Gradignan. Le commando dont il faisait partie avait d’abord attaqué en mai 2015 une armurerie à Carmaux.

Le procureur du Roi honoraire, Michèle Mons delle Roche, qui à l’époque était juge d’instruction à Marche-en-Famenne, se souvient avoir rencontré Jean-Pierre Jourda et son comparse. “Il a été auditionné mais ne figurait pas parmi les suspects”, souligne-t-elle. “Il n’a pas été inculpé. Je continue à privilégier la piste des Cellules communistes combattantes. En effet, des armes volées à Vielsalm ont été retrouvées dans les planques des CCC et d’Action Directe en France, ce qui, à mon sens, écarte d’office la piste des petits truands.”

Bron » La Dernière Heure

Advocaten trekken aan alarmbel op Internationale Mensenrechtendag

Een veertigtal advocaten van het collectief Progress Lawyers Network en verschillende leden van andere verenigingen hebben vandaag in Brussel verzameld om hun bezorgdheid te uiten over de maatregelen van de federale regering tegen terrorisme. Met hun actie willen ze, op deze Internationale Mensenrechtendag, eraan herinneren dat die rechten de hoeksteen van onze samenleving blijven.

De actievoerders verzamelden op de Kunstberg, waar ze symbolisch uitbeeldden dat ze mensenrechten in vuilniszakken stopten.

Problemen

“We stellen vast dat in België de mensenrechten steeds minder worden gerespecteerd en dat de toegang tot justitie en een pro deo-advocaat – de garantie op een rechtvaardige justitie – steeds moeilijker wordt. De maatregelen die de regering neemt als antwoord op terrorisme, onder meer huiszoekingen ’s nachts en de verlenging van de hechtenis zonder dat daarvoor beroep wordt gedaan op een rechter, stellen ook een probleem”, zegt Joke Callewaert, advocate bij Progress Lawyers Network.

“De uitbreiding van de macht van Staatsveiligheid staat hen toe om in dossiers over terrorisme steeds meer bijzondere onderzoeksmethodes toe te passen, ook wat extremisme betreft, zelfs al is dat concept niet helder gedefinieerd”, voegt ze daar nog aan toe.

Bron » De Morgen

Le dernier membre de la “filière boraine” des tueries du Brabant est décédé

Michel Cocu, dernier membre de la “filière boraine” des “tueries du Brabant Wallon”, est décédé dimanche à Boussu, rapporte la presse locale. Les autres membres de cette bande du Borinage étaient déjà tous morts.

Michel Cocu était un policier communal de Boussu. Il a longtemps été considéré comme le leader de la “filière boraine” des “tueurs du Brabant Wallon”. Les tueries ont eu lieu principalement dans le Brabant Wallon de 1982 à 1985. 28 personnes avaient perdu la vie à la suite de braquages sanglants.

Michel Cocu avait avoué son implication dans ces tueries, notamment à Hal, Genval et Nivelles, avant de se rétracter. Lui et les autres membres de la “filière boraine”, une bande de truands de la région du Borinage, avaient été acquittés en 1988 par le cour d’assises du Hainaut. Cocu avait passé 5 ans en détention préventive.

En 2015, le procureur général Christian De Valkeneer, avait, selon la Dernière Heure, voulu “recruter” Michel Cocu comme repenti et lui proposer de vider son sac sur l’affaire des Tueries du Brabant. La démarche n’avait pas abouti.

Michel Cocu était né à Boussu le 13 mai 1951. Il est décédé dimanche à Hornu. Ses funérailles auront lieu mercredi.

Bron » 7 Sur 7

Nieuw adres staatsveiligheid uitgelekt

Het nieuwe adres van de Antwerpse afdeling van de staatsveiligheid is uitgelekt, nog voor het gebouw gebruikt werd. Dat meldt De Tijd.

De staatsveiligheid zelf is gevestigd aan de Albert II-laan in Brussel, maar de dienst heeft acht andere kantoren elders in het land. Die adressen worden om veiligheidsredenen niet bekendgemaakt.

Toch is het nieuwe adres van de Antwerpse afdeling uitgelekt. De Regie der Gebouwen liet de locatie per ongeluk staan in de begrotingsdocumenten die ingediend werden in het parlement, en die ook online staan op de website van de Kamer. Daarin staat te lezen waar de Antwerpse Staatsveiligheid voortaan gevestigd zal zijn.

“We hebben de nodige contacten genomen om de situatie te corrigeren en om dit in de toekomst te vermijden”, reageert de staatsveiligheid op het lek. Ook bij de Regie der Gebouwen zitten ze verveeld met de zaak.

Bron » De Morgen